The break of wall

Chapitre 1.

Je m'appelle Clay , Clay Anderson , résidente de la base 10 , zone 61.
membre de l'équipage depuis dix ans.
Je vous parle depuis la seule base de communication encore disponible.
je n'ai plus aucune nouvelle des autres bases , toutes les communications ont été interrompu depuis l'incident , ainsi que tout moyen de transport en dehors des zones attribuées.
Ce n'est pas pour vous alarmer , ni pour vous menacer , mais nous sommes grandement en danger.
Si quelqu'un reçoit ce message , je vous pris de répondre ou d'envoyer un signe de vie , ou que vous soyez , qui que vous soyez .

je n'eu le temps de procéder à l'envoi du message quand j'entends des voix au loin s'approcher de ma position
la panique me pris par les tripes
je me trouvais dans une pièce de la taille d'un placard , qu'on appelait autrefois la base de communication principale
malgré le fait que tout était poussiéreux et que plus aucune machine ne fonctionnait comme elle le devait , je réussissais à enregistrer des audios que j'envoyais par la suite à ce qui me semblait être d'autres bases de communication , dans d'autres zones , espérant un jour , recevoir une réponse , un signal , ou n'importe quel autre signe de vie ,
et cela depuis plus d'un an

Certains penseront que ca ne sers à rien , que c'est voué à l'échec , certes , je n'ai encore jamais reçu de réponse , mais rien ne me garantit que mes messages ont pas été reçu , j'ai de l'espoir , que las-bas dehors il restes des familles , des personnes , en vie , qui reçoivent mes messages , mais qui ont peur de répondre
et peut-être un jour , aurai-je le courage d'y aller moi même.

- Bordel y'a personne pour nettoyer ce trou de rat ?

je risques de tomber du semblant de chaise sur la quelle j'étais assise au moment où le son des voix s'intensifie
le bruit de clés se fait entendre
je me précipite de me cacher sous le bureau principal métallique
la porte s'ouvrît et ma main se posa instantanément sur ma bouche et mon nez évitant la poussière de pénétrer mes narines ainsi déclenchant des éternuements

l'un des gardes ricanait pendant que l'autre semblait être horrifié de l'état de la pièce et du taux de poussière remplissant un si petit espace cloîtré

la question c'est pourquoi sont-ils descendu ici après tout ce temps ?

- je sais pas ce qu'il nous a envoyer vérifier , tout est cassé je ne vois pas comment quelqu'un pourrait utiliser ce merdier !

s'exclamât l'un d'eux , toujours en cachant la moitié de son visage avec le col de sa veste

- Ce n'est pas notre problème , contente toi de faire ton travail

j'avais une excellente vu sur eux , mes yeux s'écarquillent en voyant l'un d'eux sortir une hache en s'avançant dangereusement vers le bureau sous le quel j'étais cloîtré tel une sardine

en un seule coup de hache , je vis mon seul espoir se réduire en poussière , au sens propre du mot .
il n'en restais plus rien .

les étincelles et la poussière retombaient entièrement sur le haut de mon crâne mais je demeure silencieuse jusqu'à ce que les gardes déguerpissent de la pièce

je pris une grande inspiration suivis de plusieurs toux en sortant de ma cachette
mes yeux se posèrent sur la radio réduite à néant

la poussière m'empêchait de respirer aisément et rendaient mes yeux rougeâtre
je ne pouvais plus rien y faire , c'était irréparable

je ne m'attarde pas plus , et je sors de la pièce .

- Clay , Clay !!

une fois de retour à la cour principale la voix de Béatrice m'interpella au loin , elle devait être entrain de me chercher