Chapitre 1

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Le silence qui règne dans la maison depuis plus de deux heures m'inquiètes. Il n'y aucun bruit de torture. Aucun hurlement. Le silence complet.

Je me lève de mon lit et sort de ma chambre conjugale. Je marche dans le long couloir et regarde par la fenêtre barricader. Il fait beau aujourd'hui, le ciel est d'un bleu si clair que l'on peut le comparer à du larimar, où le larimar peut être comparer au bleu du ciel. Le soleil rayonne enfin après trois semaines de pluie sans cesse. La douce chaleureux que dégage l'atmosphère est si agréable. C'est une journée idéale pour aller à la plage. Je descend à la cuisine et regarde rapidement autour de moi. Aucun signe d'enfant. L'inquiétude s'installe en moi. Pas encore... Je regarde dans le salon, rien. 

Doucement, je descend dans le sous-sol où la plupart de ses victimes se trouvent avant et après qu'il les est tué. Je toque doucement. J'attends patiemment que la porte s'ouvre. Quelques minutes plus tard, la porte s'ouvre. L'homme face à moi est remplie de sang, j'arrive à distinguer un bras ensanglanté. Richard est un homme de fort carrure, yeux marron, cheveux noir. Du moins je pense, puisque la calvitie l'a bien attrapé. 

- Qu'est-ce que tu veux ? Demande-t-il froidement.

- Où sont les enfants ? Ose-je doucement.

Pendant quelques secondes, il ne répond pas. Il finit par se décaler et bien ouvrir la porte. Face à moi se trouve un massacre. Les trois enfants que mon marie à ramener il y a trois mois sont morts dans d'atroce douleurs. Une envie de vomir s'empare de moi. Même après si longtemps, mon estomac n'est pas habitué a cette vue. Je m'approche doucement d'eux avant de caresser doucement leur cheveux et murmuré : "Au moins, vous ne souffrez plus". J'appercois un gémissement de douleurs venant de l'un d'entre eux. 

- Oh mon ange. L'enfant essaye de s'approcher de moi. 

Mael est un petit garçon de cinq ans, il est blond, yeux verts. 

Je le tiens avec précaution et commence a le bercer. 

- Chuuut, tout va bien. Je murmure.

Je vois mon mari me regarder avant de m'ordonner de soigne le petit et de rester pour le reste de la journée dans notre chambre. J'aqcuise avant de porter avec prudence l'enfant. Une fois dans notre chambre, je me dirige rapidement vers la salle de bain démuni de miroir. Une fois la trousse de secours trouver. Je reviens vers l'enfant puis lui demande de s'assoir doucement sir le lit. Je commence avec douceur à soigner ses blessures. Pendant ce temps, j'entends la porte de l'entrée s'ouvrir puis se refermer assez rapidement. Il est parti, pense-je avec soulagement.

Une fois tout les blessures soigner, je remarque que l'enfant est au bords des larmes. J'essaye tant bien que mal de le consoler mais il murmure tristement.

- Maman et papa me manquent.  

Je le regarde avec horror avant de regarder autour de moi pour m'assurer que ce n'est pas un piège.

- Mael, ne redit jamais cette phrase compris ? Tant que tu es ici. Non sommes tes parents.

Il hoche la tête avant de bailler. Il s'allonge avant de me demander. 

- Est-ce que tu peux me lire une histoire ? 

Je lui souris doucement avant de prendre un livre au hasard de la bibliothèque et m'assois sur le lit.

- Bien sûr chérie.

Je commence à lui lire l'histoire d'un prince qui rencontre son âme sœur et blablabla. Une dizaine de minutes se sont écoulés avant que la petit s'endort. Je fredonne une chanson et me lève pour redéposer le livre. Je m'assois par terre et commence à me rappeler de ma vie passer.

Quelques semaines plus tard 

Le bruit d'une altercation dans le sous-sol me fait sursauter, j'éteins le four et la cuisinière. Essuie mes mains dans un torchant. Monte et appelle Mael puis descend dans le sous sol pour prévenir que le diner est prêt. Je toque à la porte et attends. Celle-ci s'ouvrit quelques secondes plus tard.

- Le diner est prêt. Annonce-je avec une voix remplie de peur. 

Il hoche la tête avant de sortir.

- Va accueillir les nouveaux. Dit-il d'une voix froide 

- Oui monsieur.

Il monte en haut et me laisse devant la porte entrouverte. Je prends une grande inspiration et rentre dans la pièce. À mon plus grand choque. Il y avait un enfant et un adulte de à peu près vingt ans.

- Bonjour, je dis avec une voix confiante.

Les deux me regardent avec méfiance. Le plus grand protéger le plus jeune.

- Bonjour ? Dit l'homme âgé.

- Je me présente, Jeanne Marshall vous êtes ?

- Spencer, je m'appelle Spencer Reid...

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