Solin, une jeune femme de la vingtaine va postuler pour le poste de secrétaire dans une des plus grandes entreprises de Séoul. Ce qu'elle ne sait pas c'est que cette entreprise en cache une autre bien plus sombre. Son patron sera la clé qui lui ouvr...
Je me réveille en sursaut dans une chambre qui n'est pas la mienne. Je ne m'en préoccupe pas plus que ça. Tout ce à quoi je pense, c'est le corps de ma sœur étendu sur le sol, couvert de sang et criblé de balle. Rien que la pensée de ce spectacle morbide suffit à faire monter les larmes en moi. La seule personne de ma famille qui me restait... est morte... Un torrent de larmes s'abat sur mon visage. C'est bien la deuxième fois que je perds le contrôle de cette manière depuis la mort de mon père. Au même moment, une personne familière entre dans la chambre. Mais que fait-il là ?
Moi: M... Monsieur Arnold ?
Arnold : Mademoiselle Kim, vous êtes réveillée ? Monsieur Bang vous attend en bas. Je suis venu vous déposer ceci,mentionna-t-il en tirant un portant rempli de vêtements pour femmes, vous pouvez également utiliser la salle de bain juste à côté. Bien, je vais vous laisser vous rafraîchir
Arnold : Vous en parlerez directement avec monsieur Bang
Il sortit de la pièce sur ces mots. Qu'est-ce que je fais chez mon patron ? Et où est le corps de ma sœur ? Je pense que je ne le saurai qu'une fois que je lui aurais parler. Je décide de descendre de ce lit trop luxueux pour que je puisse me le permettre et me dirige vers la fameuse salle de bain. Cette pièce est entièrement faites en marbre. Depuis le sol jusqu'au plafond, sans parler de la douche et de la baignoire. Tout est suffisamment brillant et luxueux pour me faire m'évanouir. Je me rends compte de l'écart financier qui me sépare de mon patron. J'ai l'impression d'être un vulgaire caillou devant ce titan de l'industrie immobilière. Comment est-ce que j'ai fait pour atterrir ici, moi?
Ne voulant pas perdre plus de temps, je commence par retirer mes vêtements et me mets sous un jet d'eau froide. La douleur de la veille ne quitte pas mon corps et les larmes menacent à nouveau de s'échapper. Je ferme le jet d'eau après m'être correctement lavée et prends un peignoir et une serviette pour mes cheveux puis me dirige vers la chambre. Je regarde sur le portant un vêtement que je puisse mettre et qui soit à ma taille. Je ne m'extasie plus devant ces vêtements de marque et prends une simple robe à longue manches et une paire de talons noires.
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
