La Bibliothèque

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 Salut à tous,

je revient avec une nouvelle histoire que j'ai écrite pour l'anniversaire d'une de mes amies (qui malheureusement n'est pas sur Wattpad 😭).

Comme d'habitude si il y a des fautes d'orthographe qui auraient échappé a notre vigilance faites m'en part. Et sur ce je vous souhaite une bonne lecture mes petits pirates. 

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     De grandes portes en bois massif de chêne, entourées de fines dorures, et surmontées d'une poignée en argent se trouvait là, posé aux confins du monde, n'attendant qu'une seule chose : êtres ouvertes. Malheureusement, le seul moyen de les trouver et de les ouvrir était de posséder une carte ou une clef et savoir si elle est La Clef , était assez simple en vérité : elles étaient forgées dans l'argent le plus pure, tout comme la poignée, et les symboles qui l'ornaient étaient exactement les mêmes que ceux qui se trouvaient sur la porte. La dernière petite chose à savoir était que, ce soit pour la porte, la carte ou la clef, il était écrit sur chacune d'entre elle : « Ανοιξέ μου* ».

     Peu de personnes connaissaient le secret de ces portes car seul cinq famille, à qui elles étaient transmises de père/mère en fils/fille, possédaient La Clef  mais ceux qui les avaient déjà ouvertes par le passé, avaient découvert quelque chose d'inestimable, quelque chose de ''MAGIQUE''.

Si vous désirez connaître leur histoire, la voici :

« Il y a fort longtemps, dans un petit village au nord du monde vivaient un homme sa femme et leur six enfants. Quand les parents vinrent à mourir, dans des conditions si mystérieuses que nul ne savait comment, l'aînée eu le désespoir de voir que ses frères et sœurs ne savaient que se déchirer lorsqu'ils se trouvaient ensemble. Elle prit alors conscience que seul l'amour de leur parents les maintenait soudés, alors elle eut la merveilleuse idée de créer, grâce à son héritage, un havre de paix ou ils pouvaient tous être heureux ; ensemble. Elle se rappela alors que tous les soirs, leurs parents, pour les endormir et les faire rêver, leurs racontaient milles et une histoires sur des fées, des dragons, des sorciers et mêmes des guerres intergalactiques, et que le seul moyen pour elle de leur raviver ces souvenirs étaient de créer une bibliothèque immense pour eux. On dit qu'elle aurait fait appelle aux meilleurs artisans et après avoir offert à chacun de ses frères et sœur une clef, elle vi sur chacun de leurs visages la joie immense et leur énonça ensuite chacune des quelques règles importantes. Elle disparut et à partir de cette instant nul ne l'a plus jamais revu. »

     Cette bibliothèque, donc, possédait des centaines et des centaines d'étagères réparties sur plusieurs kilomètres de hauteur et de longueur. Des arbres de différentes tailles et formes sont réparties un peu partout dedans. Les pins, par exemple, servent de pilier, tandis que les bouleaux eux servaient de toit d'ombre grâce à leurs hautes branches surmontées d'épais feuillages. On distinguait aussi, dans différents coins, des saules pleureurs qui, grâce aux basses branches et aux tapis d'herbes douces à leurs pieds qui servaient à lire et se reposer, étant des espaces calmes. Des fougères ainsi qu'autres plantes comme des rosiers ou bougainvilliers se reproduisaient par ci par là pour donner un aspect chaleureux et de la couleur. Parfois, il pouvait nous arriver de croiser des vergers de mirabelliers, pommier et pêcher ou des bacs emplis de fraisiers, si l'on savait où chercher évidement. Il se trouvait aussi, à l'entrée, là où nous pouvions trouver le comptoir des réservations ou bien même des coins canapés tous aussi confortables les uns que les autres, une cuisine possédant tous les ustensiles et ingrédients pour vous préparer ce que vous désirez. Et bien que l'on pourrait penser le contraire, elle n'abritait pas seulement des livres, arbres et plantes mais aussi toute une horde de petits animaux des bois, telle que des familles de renards, des écureuils, des lapins, des loups aussi mais qui n'était pas dangereux car c'était de vrais amours. De temps en temps, l'on pouvait tomber sur un lac et si vous observiez bien vous pouviez trouver -au milieux des bancs de poissons, des tortues et autre- le monstre du loch Ness.

      Sur les étagère énoncées plus haut se trouvent des centaines de milliers de mondes qui se chevauchent les uns sur les autres, parlant tours à tours de sirènes, fée et autre lutins ou d'autre de vaisseaux spatiaux et de guerres universelles. Parfois, malencontreusement, ces mondes se retrouvaient mêlés ensemble. Ce qui donnaient ainsi des mélanges très étranges tel que des chevaliers, habillés en armure d'argent et chevauchant des dragons, se retrouvaient à devoir sauver et aider des héros coincés entre les griffes de chimères ou de cyclopes. D'autre fois ce sont des princesses écossaises chevaucheuses d'ours, qui sauvaient des princesses d'un long sommeil éternel lancé par une fée un petit peu trop mauvaise.

     Malgré toutes attentes ce n'était pas ces personnages et autres créatures cités plus haut qui étaient les plus passionnant mais bien leur gardienne.

     Peu de gens -personne en réalité- ne l'avait déjà croisé, tout simplement parce qu'elle était partout et nulle part à la fois. On pouvait la considérer telle une déesse, bien qu'elle fût aussi vivante et mortelle que vous et moi mais si on lui donnait ce statut c'était que comparée a nous elle avait traversé les âges et les époques ; dieu seul sait comment.

     On lui attribuait plusieurs nom selon l'époque ou la région, tous plus faux les uns que les autres, pourtant certains étaient assés proche de la réalité -si tant est que l'on pouvait appeler cela une réalité- : la Bibliothécaire ou même l'écrivaine entre autres. Elle se qualifierait plutôt -donc comme spécifié plus haut- comme la Gardienne.

     Personne n'a donc jamais su qui était vraiment cette mystérieuse personne, mais elle sait qu'elle n'est là que pour veiller sur la bibliothèque, ses habitants et sa famille.

*"Ouvre moi" en grec.


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Alors vous en avez pensé quoi?

J'espère qu'elle vous a plus et je vous dit a la prochaine !

Ecrit et Corrigé par: gegele49

Ecrit le: septembre 2022

Nombre de mot: 940

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