J'ai créer un spidersona donc je vais vous conter son histoire :
Aussi faut avoir les réfs des films spidermans sinon vous aller être un peu paumés ou spoilés, j'vous aurez prévenue
C'est la 1ere fois que j'écris donc je m'excuse si c'est mal fait...
Tante May s'occupait de Sélène, sa joue était gonflée. Elle regardait ailleurs et n'osait pas affronter le regard de sa tante, par peur de tout simplement craquer.
TM : _ Ma chérie... S : _ Ne t'en fais pas May...je suis juste tombée et je me suis mal réceptionnée c'est tout. TM : _ Tu es sûre que tout va bien ? Tu es bien distante depuis la mort de B- S : _ Je vais bien je t'assure. Merci...
Elle se leva et s'en alla, s'enfermant dans sa chambre, laissant May seule. Sélène se sentait honteuse de mentir à sa tante comme ça, de lui dire qu'elle est ainsi parce qu'elle a du mal à faire le deuil. Alors qu'elle l'a fait depuis longtemps. Elle aimerait tellement lui avouer sa double vie, de lui dire que de porter ce secret est très lourd, que se soucier de l'équilibre de sa ville et de sa vie privé l'a rends malade. Mais c'est impossible. Cela mettrait en danger sa famille, elle n'accepterai pas de perdre encore quelqu'un. Elle décida d'appeler Gwen, elle au moins peux l'écouter, elle prit son bracelet, bidouilla quelques touches et lança un appel.
S : _ Hey Gwen...ça v- G : _ Hey Sélène, euh désolée mais je suis occupée... S : _ Oh je peux te rappeler plus tard G : _ Désolée mais je pourrais pas, je serais en mission pendant la semaine... S : _ Oh...bonne chance alors Gwennie... G ; _ Merci
Elle raccrocha, Sélène, énervée et a bout, mis son masque et décida de faire un tour en ville pour lui changer les idées. Plus discrète, elle marchait sur les toites ou sous des ponts, sans trop montrer qu'elle était là. Elle vit une silhouette qu'elle connaissait bien. C'était celle de son fiancé. Leonidas. Ils ont toujours été formels lors de réceptions et soirées mondaines, elle le suivait du regard mais abandonna vite, il s'était fondu dans la foule et puis cet homme n'est pas interessant :
R : _Vous chassez ce soir ? LD :_ QU ?! RÔDEUR?!!
Celui ci accoura contre un mur et s'élança sur un toit, invitant Lady Spider à le rejoindre.
LD : _ EH!!! REVENEZ JE VOUS ARRÊTE ! R : _ Pour délit de beauté ? LD : _ ARRÊTE TES CONNERIES ! R : _ Quel est ce langage ? Venant d'une Lady ? LD : _ T'esun fugitif recherché alors gardes tes manières.
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Lady Spider poursuivait le Rôdeur, à travers une ville animée et insomniaque, celui ci, grâce à des bottes modifiées, courait sur les murs et possédait une vitesse extraordinaire, se qui rendait la course-poursuite plus sportive et fastidieuse pour notre héroïne. Celle ci s'efforçait de répéter que si il se rendait de son propre chef, la justice serait plus clémente, mais il n'écoutait rien et continuait sans broncher.
LD : _ Pourquoi fuir ? Pourquoi ?! R : _ Orh, tu poses trop de questions ma Lady.
Avec son gant, du fluide non newtonien se matérialisa et forma une massue, avec elle il essaya de frapper la femme araignée, elle l'esquiva de peu. Avec ses toiles, elle essaya de lui retirer ses gants mais ce dernier les coupaient avec une facilité à faire peur. La course-poursuite s'était transformée en duel aérien spectaculaire.
La foule commençait a remarqué deux figures virevolter dans tous les sens et à se battre violemment. Les téléphones se braquèrent rapidement sur eux, ne ratant aucuns actes fais par l'un et l'autre. Étant sous le feu des projecteurs, le Rôdeur disparu dans un rapide nuage de fumée. Laissant son adversaire, totalement désemparée. Elle descendit vers la foule, suppliant pour qu'ils rentrent chez eux, de l'a laisser faire son travail, que filmer ne sert à rien a part augmenter les chances d'être blesser. Petit à petit, les gens regagnèrent leurs domiciles respectifs. Les rues étaient désertes, quelques voitures circulaient encore un peu... Lady Spider se précipita chez elle, elle en avait assez de cette soirée. Elle se jeta sur son lit, mais des coups se fit entendre sur sa porte, c'était Leonidas :
L : _Je te dérange ? S : _ J'allais dormir. L : _ Je m'excuse, je voulais juste te prévenir qu- S : _ On en parle demain. Bonne nuit. L : _... A demain.
Il ferma la porte prudemment, Sélène se laissa tomber sur son lit, regardant le plafond, elle vit sa vision se troubler, des larmes roulaient sur ses joues, elle ferma les yeux et se laissa emporter par la fatigue et le sommeil...
