« Pardonne moi
Pardonne moi de n'avoir pas su
Préserver la chance d'être deux
Amoureux en quête de l'absolu
 que mon coeur est douloureux
Au loin de toi vit ma souffrance
Fidèle fardeau lié à nos vœux
Je suis porteur de cette a...
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Ça faisait 2 heures que je m'entraînais, mon esprit était ailleurs. Beaucoup de choses me tourmentaient, Ace n'avait pas fait d'apparition depuis. Laissant tout le monde avec l'idée que nous étions les prochains sur la liste. J'avais beaucoup de réunions d'affaires et j'alternais avec les cours à l'université. Je retirais mes gangs de boxe quand j'entendais des bruits de talons derrières, moi.
- Tu ne me dis pas « Bonsoir », dit Diana.
Je me tournais vers elle avec nonchalance, elle pouvait être une vraie plaie. Diana était la fille d'un investisseur grecque, elle venait aux États-Unis pour représenter le business de son père. Elle était une vraie virtuose dans la gestion et le marketing. On s'était rencontré lors d'une réunion d'affaire puis nous avions couché ensemble durant un certain temps. Ensuite, j'ai coupé les ponts, les femmes ne comprennent vraiment pas le principe de plan cul. Elle finissent par s'attacher quand on rentre dans une relation de cul, il ne faut pas y mettre de sentiments.
- Si tu es venue pour baiser dit le simplement qu'on en finisse, dis-je avec arrogance.
Elle me regardait avec un regard emplit de désir et de provocation.
- Pourquoi tu me parles comme ça ? Posait-elle.
Je pris ma serviette essuyant la sueur sur mon corps.
- Tu vas sur tes 30 ans et tu continues à poser des questions bêtes. Il faudrait que tu lâches les plans culs et cherche un plan d'avenir comme se marier. Dis-je agacé.
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Diana avait 9 ans plus que moi, elle se comportait comme si la ménopause n'allais pas l'attraper dans quelques années.
Elle venait vers moi en furie prête à me gifler, je l'arrêtais et l'embrassais. Il fallait que je me vide, elle était là donc autant en profiter. Bingo, elle se détend et approfondie le baiser. Mes mains caressaient chaques parcelles de son corps. Mes mains se faufilaient sous son t-shirt, jouant avec ses tétons. Sa main descendait vers mon pantalon, elle était sur le point de toucher mon pénis. On fût interrompu par le bruitde la porte en verre, je m'arrêtais.
