Seule au milieu de passagers incessants,
Immobile, elle demeure, les cheveux au vent,
Face à ce cadre réconfortant,
Elle revit des moments émouvants,Le vent caresse d'un souffle léger,
Une larme qui trace sa joue rosée,
Un sourire secret, empreint de souvenirs,
Ce lieu qu'elle s'est promis de chérir,Elle peut demeurer si longtemps,
Malgré quelques décors différents,
Elle y voit ses enfants,
Jeunes et intrépides s'amusant sagement.
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Les songes du temps
PoetryÀ cette femme, dont le chemin ne recroisera sans doute jamais le mien, et qui a gravé une empreinte profonde en moi. Au bord du pont, elle se tenait solitaire, comme si le monde entier s'était évaporé. Son regard se perdait dans le paysage qui se dé...