Dangerous women ~ TOM KAULITZ

L'impression d'être une bête de foire

Mes yeux commencèrent à voir flou à cause des lumières de toute les couleurs qui apparaissaient dans la boîte de nuit. Mes oreilles saigneraient de la forte musique qui traversait tout mon corp. Je me suis dirigé vers mon père qui m'avais appelé par un claquement de doigts, comme si j'étais son chien.

- Un client te veux, alors évite cette fois de le tuer ou c'est toi qui en aura les conséquences. Me dit-il dans mon oreille, pour que je puisse entendre par dessus la musique.

Je me suis contenté d'un hochement de tête et je me suis dirigé vers cette fameuse pièce qui me rendait malade. Je suis entré et un homme m'attendait déjà, il m'a fait signe de l'approcher. Je l'ai ignoré et j'ai juste fermé la porte pour ensuite me dirigé dans la sale de bain pour me remaquiller.

- Pourquoi m'ignore tu très cher ? Me dit-il d'une voix douce.
- Je ne vous ignore pas, je suis seulement occupé. Dit-je sèchement.

Il m'a rejoins et à fermer la porte derrière lui. Il m'a pris mes long cheveux brun d'une douceur exquise pour ensuite les décaler de mon coup. Il est devenu soudain agressif et les a tiré vers le bas pour que ma tête se penche en arrière. J'ai lâcher un couinement de douleur. Il est redevenue doux et ma chuchoter.

- Je reviendrai pour cette fois repartir avec toi promis. Me dit-il dans le creux de mon oreilles.

J'ai garder un silence, en ne comprenant pas ses mots tout de suite. Il est ensuite partie de la pièce en fermant la porte derrière lui.

Je suis ensuite sortie à mon tour, et mon père est venue me voir directement d'un air fière.

- Je savais que je pouvais compter sur toi ma chérie, le client m'a dit qu'il reviendrait avec satisfaction. Me dit-il en prenant mes épaules pour me serrer contre lui.

Je n'est rien dit j'ai seulement suivis son mouvement. Et je me suis ensuite dégagé de lui pour repartir m'assoir au bar. La soirée est passé et je me suis endormi la tête dans mes bras. Une main m'a réveillé et ma conduite dans la voiture de mon père puis nous sommes rentrés à la maison.

Une fois arrivé je me suis dirigé dans le manoir et je suis monté dans ma chambre pour prendre une douche. En rentrant dans la salle de bain je me suis soudain souvenu d'hier soir. Mais bizarrement je me souvenais pas de son visage, je ne savais définitivement rien de lui.

Je suis rentré dans la douche et j'ai fait couler l'eau. Puis j'ai entendu toquer à ma porte. Je suis sortie de la douche et me suis enroulé une serviette autour de mon corp. Je suis ensuite partie ouvrir.

- Salut Ella, je te préviens depuis ton père qu'il veut te voir maintenant. Me dit Emilie la servante du manoir.
- Heu d'accord je m'habille et j'arrive.

Je ne lui est jamais vraiment parler, mais je savais à quel point elle pouvais être douce avec moi. Elle avais une petite voix qu'on pouvais à peine entendre.

Je me suis habillé avec une robe noir à dentelle qui reflétait la lumière des couloirs. Je savais que mon père aimait me voir dans se genre de tenue.

Je me suis dirigé dans son bureau, des hommes mon ouvert la porte, j'ai marché sur le tapis rouge qui amenait à lui.

- Bonjour fille, je voulais te parler à propos de se soir. Je veux que tu sois bien habillé et que tu te comportes comme la dernière fois avec se même homme. Il donne fortune pour t'avoir pour la nuit, alors ne gâche pas tout.

Je n'est pas répondu mais j'ai fait comprendre que j'avais compris.

- Bien, alors va te préparer nous repartons dans 1h. Ma dit-il dit en tapotant sur sa montre.

Émilie ma raccompagner à ma chambre pour me préparer. Elle m'avait mis une robe rouge moulante qui m'arrivait mi cuisse sur mon lit. Elle avais un d'écolleter provocateur avec des gants rouges et des talons noir accompagné par de beau bijoux. Elle m'a également maquillé, j'avais l'impression d'être une bête de foire.

Elle m'a ensuite raccompagné à mon père qui m'a regardé avec envie, pour ensuite me mettre dans sa voiture.

Lorsque nous somme arrivés, il a fait le tour de l'avant de la voiture pour m'ouvrir la porte. Il m'a ensuite escorté à cette fameuse pièce qui m'étouffai.

L'homme m'attendait déjà...