Chapitre 10 - Danaé

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Putain mais qu'est ce qu'elle fous cette foutue infirmière ! Ça fait une heure qu'on attend et Will continue à saigner.
- Will et si t'avait le nez casser ?
- Je ne souffre pas tant que ça.
- Alors une commotion cérébrale ou quelque chose dans le genre.
- Danaé t'exagère dit il en rigolant.
Mais moi je trouve pas ça drôle du tout. J'ai envie de giffler Steve. Il peut pas faite attention celui là !
- Tu peux arrêter de faire les cents pas tu me donne le tournis.
- Lève toi, on y va, dis je en lui empoignant le bras pour qu'il se lève.
- On va où ?
- Je te conduis au urgence. Will c'est dangereux sa fait une heure que tu te vide de ton sang. Y'a quelque chose qui ne va pas. Si sa aurait été un saignement ordinaire, le sang aurait déjà coagulé et on serait repartie en cours.
Il ne bronche pas et il s'accroche bien à mon bras. J'ai l'impression qu'il n'y voit vraiment pas grand chose sans ses lunettes.

Après une heure de transport en commun on arrive enfin au urgence du centre ville. Étonnamment y'a moins de monde que l'on pensait. Dans le bus on voulait appeler pour prévenir quelqu'un au moins mais ni lui ni moi avions pris nos téléphones. On s'annonce à l'accueil et il nous font patienter en salle d'attente.
- Tu sais je voulais m'excuser pour mon comportement l'autre jour à la cafétéria, dis je pour briser le silence.
- T'inquiète pas, je t'en voulais pas. J'avais juste un peu peur que tu ne me considère pas comme ta famille.
- Je vais être honnête avec toi, je ne veux considéré personne de ta famille comme ma famille. Pour moi il n'y a que mon père et lui seulement qui compte.
- Je sais ton père nous à raconter votre passé depuis le divorce avec ...
- Tant mieux le coupais je avant qu'il ne prononce un mot de plus sur cette femme.
- Pourtant t'est ici avec moi.
- Franchement je ne sais même pas pourquoi je me suis autant inquiétez pour toi. Dès que je t'ai vu par terre, j'ai couru vers toi sans penser. Et je doit t'avouer qu'a cette instant j'ai pas vu Will le binoclard, mais Will Donnell.
Il me sourit et on appelle enfin son nom.

Lorsqu'il eu finit de le coudre, j'ouvre enfin les yeux. Grâce à Steve il a un côté de ces parois nasale fendu. A l'intérieur des deux narines en plus de ça. Une infirmière nous donne de quoi manger et à Will de quoi reprendre des vitamines après avoir perdus tout ce sang. Avant qu'elle ne parte, on lui indique notre lycée pour qu'elle puisse joindre le proviseur ou un responsable qui pourrait prévenir nos parents.

Une heures plus tard, Elise, Phill, mon père et Sandre débarquent dans la salle. Elle se précipite vers Will et elle le sert contre elle.
- Qu'est ce qui vous a pris de venir ici ? Demande Phill.
- Il aurait pu vous arriver quelque chose de grave continue mon père.
J'allais prendre la parole lorsqu'un médecin arrive. Il pose des question à Will pour s'assurer que tout ca bien et apparemment tout va bien,
- Votre fils à les parois nasales fendu à deux endroit différents. Nous avons du recoudre d'urgence. Vous pouvez remercier cette jeune fille de l'avoir aider à venir ici, parce que voyez par vous l'état de son t-shirt. Il a perdu énormément de sang. Il faudra revenir dans deux semaines pour voir si l'on enlève les soutûre ou pas.
Sur ces dernière parole il s'en va.

Nous rentrons à la maison exténuée. Mon père à récupérer mes affaires au lycée. J'arrive pas à croire que je vient de passer une tel journée. Je sais à présent que Sandre est ma cousine et honnêtement je m'en doutais un peu. Je me laisse tomber sur mon lit la serviette enrouler autour de ma poitrine et tout d'un coup les images du visage de Boby dans mon cou ainsi que ses lèvres sur ma bouche me reviennent. Je détache lentement ma serviette et j'enfonce un doigt entre mes jambes déjà humide. J'en veux plus, j'enfonce un deuxième puis un troisième doigt. Les souvenirs de son enorme engin enfoncer au plus profond de moi reviennent alors. Je presse sur le bout sensible qui trône au niveau supérieur de mon entre jambes. Je joue avec et c'est tellement bon. J'explose et j'étouffe mon gémissements en me mordant les lèvres. Cette nuit là, je ne fit pas de cauchemar.

Loves me as I hate you (crossover of Sinder) : Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant