Addict to love

Un pompier pour moi #4

Marshall

Mais quel imbécile, pour qui je vais me faire passer ? Sérieux ! J'ai l'air d'un gros pervers ! Acouder au bar, j'attends d'être servi, je jette un œil à Romane, son regard est poser sur le petit prospectus du bar.

- Dis donc Marshall tu est en bonne compagnie, me dit le serveur en souriant.

- Oui... je trouve aussi. Tu nous remet deux verres ?

- Je te fait ça.

Après quelques minutes Enzo dépose devant moi le Cherry et ma bière. Cet lèvres doivent maintenant avoir le goût de la cerise... Je revient vers elle, son regards rencontre le miens et un sourire apparaît, je fixe ses lèvres à ma réflexion de tout à l'heure. J'ai du mal a me détacher d'elle.

- Merci.

Un léger silence s'installe entrent nous... non...

- C'était quoi ta dernière intervention un peu drôle ?

- Je dirait avec toi dans l'ascenseur...

- Merci de me le rappeler, dit-elle en riant.

- Excuse moi, sinon une vieille dame qui avait un peu trop bu, et qui était tomber. Nos fesses s'en rappelle !

- Quoi ?

- Elle avait les mains très baladeuse !

Romane se met à rire.

- Sérieusement ? Ça devait être drôles.

- Oui, quand on a aider cette femme, on enchaînait les interventions un peu compliquer. Des feux, des accidents, des chutes. Ça a été un peu notre bol d'air frai.

- Je ne sais pas si je serais capable de faire ce métier.

- C'est un métier compliquer, je ne vais pas te mentir, mais j'aime ce que je fais.

- Temps mieux alors.

- Il y a une porte ouverte à la caserne la semaine prochaine, tu pourrais venir...

- Tu m'invite ? Me demande Romane

- Oui... enfin tu fait comme tu veux.

- Je viendrais alors, je doit ramener la couverture.

- Tu peux la garder, tu sait.

- Hum elle est vraiment moche ! Ajoute-t-elle en riant.

Je me met a rire avec elle.

- Pardon, c'est vrai qu'elle n'est pas très belle.

- Et pas très douce, non plus...

- C'est vrai, pas très agréable...

Ma main pourrait être plus douce, je pourrait être ta nouvelle couverture. Nos verres son vider.

- Je vais peut être rentrée, il commence à se faire tard.

Je regarde mon téléphone plus d'une heures du matin.

- Je n'avais pas vue l'heure. Je vais te raccompagner si tu veux bien.

- Ma voiture n'est pas très loin.

Nous sortons du bar, je la suit jusqu'à sa voiture.

- Merci pour les verres, tu n'était pas obligé.

- Ça m'a fait plaisir.

J'ouvre sa portière.

- On se voie alors à la caserne, fini t-elle par dire.

- J'ai hâte de te voir dans mon élément.

Je regarde sa voiture s'en allée. Je retourne au bar le sourires aux lèvres. Je suis accueilli par des hurlements de mes amis. Je retrouve ma place.

- Tu daigne enfin nous donner de l'intention ! Me dit Henry en riant.

- Pardon, mais face à cette femme vous passer tous en arrière plan !

- Méchant !

- J'en ai rien a faire, dis-je en riant.

- Tu vas nous abandonné pour une femme ?

- Si c'est la femme de ma vie je n'hésiterais pas.

- C'est nous les hommes de ta vie Marshall ! Cris Charles.

Je passe ma main dans mes cheveux.

- Bébé, tu ne va pas me faire une crise de jalousie !? Dis-je en riant.

- Si mon chéri !

- Vous savez quoi ? Il est tard et je vais rentrer.

- Ne fait pas de détour pour aller voir ta copine.

- Ce n'est pas ma copine !

- Pas encore ! Hurle t-il.

Je sort du bar en secouant la tête. Sérieux ils vont me faire honte devant elle...

Je ne l'ai pas vue de la semaine, j'ai même été con en ne lui demandant pas son numéro l'autre soir.
La caserne est prête à accueillir les visiteurs, les camions son propre et brille, les matériaux son installer, rien ne traîne, des bonbons et des gâteaux ainsi que des boissons pour les enfants son prêt.
Maintenant il n'y a plus qu'à attendre qu'elle arrive enfin qu'ils arrivent !
Une heure plus tard, les premiers visiteurs son là, la journée défilent et pas la moindre trace de Romane. Peut être qu'elle ne viendra pas enfin de compte.
Une bouteille d'eau entrent les mains, je bois plusieurs gorgée, quand une nouvelle vague de visiteurs pénètre dans la caserne.
Un coup de coude me fait avalée de travers.

- Ta copine est là, me dit Henry.

Super.... c'est parti.

Nos yeux se trouvent, nos sourires naissent. Henry me devance et part avec elles. Je le rattrape vite.

- Bonjours, bienvenue à la caserne.

Romane est venue avec son amie qui travaille avec elle.

- Salut, dis-je.

- Bonsoir, dirent elles en cœur.

Romane porte une petite robe grise, une veste à son bras. Des petite chaussures.

- On vous fait visiter ? Leurs demande Henry.

- Avec plaisir.

Un nouveau groupe vient de rentrer, j'abandonne alors Henry et les filles pour aller à la rencontre de ce nouveau groupe. Avec la rage d'en faire baver Henry une fois seule. Quand je commence la visite, ils ne sont déjà plus là. Nous les retrouvons vite, mon regards se pose un peu trop souvent sur elle, Henry l'a remarquer et me sourit à chaque fois.
La visite se termine, au cœur de la caserne je ne la vois plus, seule son amie un verre à la main écoute Tina parlée.
Je sent un bras se poser autour de mon épaule.

- Ta belle se trouve dans la salle où on converse les animaux le temps qu'ils trouvent un refuge, me dit-il en souriant.

Je ne perd pas de temps et m'éclipse. En quelques pas je suis devant la porte, d'où je suis je la vois pencher à lire une extrait du journal. J'entre et ferme la porte.

- Salut.

Elle se retourne en souriant.

- Je ne lâcherais jamais Maurice pour qu'il termine ici, crois moi.

- Dommage ça sera pas pour cette fois.

- Mais si tu veux vraiment, tu pourrais venir chez moi pour le voir...

- Tu m'invite chez toi ?

- Oh euh oui, pour venir le voir, je pourrais faire semblant de le perdre et tu viendrais me sauver.

Je rêve où ça ressemble à un mauvais film porno ? Au regards qu'elle me lance, elle réalise enfin ce qu'elle vient de dire.

- Oublie ce que je vient de dire...

Elle se détourne pour continuer la visite dans la pièce.

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Ça avance doucement entrent eux !
Leurs petite soirée au bar ?
La petite proposition de Romane ? Marshall va t'il accepter ?
Des envies pour la suite ?
Des idées ?
Bisous bisous