Chers lecteurs, nous sommes à la fin de ce récit.
Je tenais à vous adresser ces mots, car ils viennent du cœur.
Écrire cette histoire m'a pris du temps, tant de temps que cela pourrait se compter en années. Ce n'est pas que j'ai manqué de savoir sur quoi écrire, mais j'ai manqué de foi et de détermination en plein chemin.
Lorsque j'avais entamé les premiers chapitres, je sentais une flamme en moi qui venait de s'animer, une vision nouvelle qui prenait forme. Hélas, les épreuves m'ont mené à des vallées si redoutables, que je doutais finalement des plans de Dieu. À cause de cela, je ne voulais guère venir me forcer à continuer une histoire, si je ne croyais plus en La Main qui m'avait inspiré à l'écrire. De toute façon, la différence de pensées se serait fait ressentir.
Je voulais que tout ça ait un sens et ne soit pas qu'un mensonge. Au moment où j'ai eu la force de revenir, je me souviens avoir relu les chapitres et j'ai été époustouflée de certains passages, me rendant compte qu'il était impossible que c'était moi qui avais pu écrire certains des mots publiés. D'ailleurs, aujourd'hui je le sais, ces dons que nous avons sont tous du Seigneur.
Mon but est que par la plume que le Seigneur pose sur ma main, de l'espoir soit redistribué. Que les âmes douteuses retrouvent foi et assurance, même dans ce monde qui ressemble de plus en plus à un terrain de combat. Il y aura dans vos vies des moments de joie tout comme des périodes plus sombres, mais en Dieu, la paix et le bonheur sont ancrés dans les cœurs de ceux qui restent sous Son aile. Cependant, parce que nous sommes imparfaits, il pourrait arriver que l'obscurité de l'extérieur nous rendent curieux et que les musiques sensuelles jouées tentent nos chairs. Mais rappelons-nous ces choses; tomber ne veut pas dire mourir. Je dis cela car le plus souvent après être tombée, plusieurs personnes donnent la victoire aux forces du mal et déclarent forfait. Elles sont fatiguées et abattues.
Mais la main du Seigneur sera toujours là pour aider Ses enfants. Le Seigneur Jésus-Christ a pu tenir, ainsi, par Lui et pour Lui, nous pouvons avoir plus de force. Souvenez-vous de combien Lui aussi a souffert pour voir de nouveau des sourires saints sur nos faces.
Par l'invocation de Son nom et en se rappelant Son sacrifice, nous le pouvons.
Prions les uns pour les autres. Priez donc aussi pour moi. Car je suis consciente qu'il me reste un long chemin à faire.
J'ai entendu dire par des voix humaines, 'chacun pour soi, Dieu pour tous.' Ou encore 'on vient au monde seul, et on repart seul.' Tant de réalité qui des fois ne reflète pas la vérité.
La vérité, c'est que certes, on vient dans ce monde seul, mais ce n'est pas pour y vivre dans la solitude. La vérité, c'est que certes, on part seul, mais ce n'est pas pour y rester seul. Dans plusieurs livres comme dans 1 Chroniques 19: 11, le Seigneur utilise ces mots, "En effet, quand ta vie sera finie et que tu iras rejoindre tes ancêtres, je désignerai un de tes enfants, ce sera un de tes fils. Il sera roi après toi et j'établirai solidement son pouvoir." Puis, Jean 14:2 "Il y a plusieurs demeures dans la maison de mon Père. Si cela n'était pas, je vous l'aurais dit. Je vais vous préparer une place." Il parle d'aller rejoindre d'autres âmes, d'une maison où nous y habiterons à plusieurs. Et ne nous battons nous pas pour vivre éternellement à Ses côtés ? Alors pourquoi ce besoin de solitude ?
Puis, pour ceux qui disent chacun pour soi et Dieu pour tous, il est vrai et vérité que le Salut est personnel, mais est-ce que cela veut dire que la peine de notre prochain ne doit nous appeler ? Le Seigneur nous recommande de prier même pour nos ennemis, d'aider ce qui n'ont pas grand-chose. Si chacun n'agissait réellement que pour soi, qui prendrait soin des choses dont Dieu nous a demandé de prendre soin ? Le monde mourrait.
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Ma Foi À Rude Épreuve.
EspiritualJ'ai grandi dans une famille brisée et j'avais l'impression que mes parents se mettaient un voile sur le visage pour ne pas voir la vérité en face. Plusieurs fois, j'ai cherché Dieu et de nombreuses fois, j'ai abandonné. Et à mon grand étonnement...