Badboy

Chapitre 11 : Ruptures et explications

Point de vu Liam

Je me réveilla au côté de Deborah qui souriait et me regarda comme jamais une autre femme ne m'avait regarder auparavant. Je lui sourit en retour, et l'embrassa doucement. Elle y répondit et parti se laver car son vol était à 9h, elle rentre dans 48 heures, j'ai donc deux jours pour rompre avec Kate. Mais je vais rompre à Wimbledon, c'est à dire demain ( nda : en vérité, il est aller à Disneyland Paris le 1er juillet jusqu'au 3 juillet et Wimbledon le 12 juillet, là je fais tout en deux jours ). Elle fini sa douche et en sorti habiller de cette façon

Je me mord la lèvre et lui fais un suçon

- Putain, tu es sexy bébé

Je souris

Elle sourit

- Merci bébé, tu m'emmène et me récupère dans deux jours à l'aéroport ?

Je lui souris

- Évidemment mon ange, fais attention à toi, on s'appelle ce soir bébé ?

Elle me regarda

- Oui, je t'appelle ce soir, essaie de t'amuser à Disney malgré tout

Je souris

- T'inquiète pas, je t'apporterai une peluche

Elle était émue et je la conduisit à l'aéroport

- On se revoit dans deux jours - dis-je

Pour seule réponse, elle m'embrassa amoureusement et parti vers son vol de Toronto

De mon côté, je rejoignit Kate et on parti à Disney

* Ellipse trajet, Disney *

Je la regarde

- Salut, ça va ?

Elle me foudroie et me fout une bonne baffe monumentale, faut dire que je le mérite mais bon

Kate

- Je vais pas bien, mon mec se fout de ma gueule, me fait cocue, on avait pas à se remettre ensemble, si tu me trompes, tu fais ça avec toutes les filles avec qui tu sors - dit elle les larmes aux yeux-

J'ai juré que je ne recraquerai pas, car à chaque fois qu'une de mes ex pleure, je me remets systématiquement avec.

Je la regarde

- Je mérite cette gifle, je le sais, mais avec Deborah c'est différent, on est pareilles, on a les mêmes envies, on a les mêmes pensées, on a pas besoin de se parler pour se comprendre, un seul regard, et je sais ce qui se passe, tandis qu'avec toi, faut toujours que je simule, que je fasse semblant d être un homme que je ne suis pas, alors qu'avec elle, je suis moi tu comprends, y a pas de fioriture. On ne se cache rien, on s aime et on est près à tout l'un pour l'autre. Toi non, et puis même, je pense que je la détestait, je me cachais que j'en était amoureux et je préférais la haïr que l'aimer, de peur, qu'elle ne ressente pas la même chose pour moi, ce qui, comme tu l'as vu, n'en fut pas le cas et elle m'aime pour l'homme que je suis et pas ma fortune comme je l'aime de la même manière. On va s'amuser ici à Disney et on va à Wimbledon demain et demain soir, tu prends tes affaires et tu degages de chez moi. - lui dis-je, le plus calmement possible.