Chapitre 2

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La Maison Blanche
Monsieur le président, l'école de votre petite fille a été attaquée. Nous avons reçu l'alarme il y a 5 minutes", informa l'assistante du président.
- "Comment cela est-il arrivé ?" demanda le président, le père de Claudia.
- "Nous n'avons pas encore toutes les informations, mais il y a de fortes raisons de penser que le gang de Costa Juan est impliqué, d'autant plus que nous avons appréhendé l'un de leurs membres."
- "Envoyez des hélicoptères et toutes les forces disponibles, je veux voir ma fille."
- "C'est déjà en cours, monsieur, mais vous savez que cela prendra au moins trois heures pour arriver sur place."
- "Avez-vous tenté de contacter ses gardes du corps ?"
- "Aucun signe de vie, personne ne répond à nos appels."
- "Je prie pour que personne n'ait découvert sa cachette."
- "Monsieur, il est possible que des individus infiltrés dans l'académie travaillent pour l'ennemi, sinon ils n'auraient pas pu la localiser."
- "Cela semble plausible. Menez des investigations sur toutes les personnes employées là-bas, et contactez leurs familles. Je veux tout savoir."
- "Très bien, monsieur."

Retour à Claudia.
Je viens de reprendre conscience, et je me trouve dans une voiture en compagnie de deux hommes brutaux.
- "Oh regardez, la Belle au bois dormant se réveille. Tu veux un café ?" lance Jordan.
- "Arrête de plaisanter, on dirait un gamin de cinq ans", répond Alan.
- "Bande d'imbéciles, où m'emmenez-vous ?" criai-je.
- "Tais-toi, insulte-moi encore une fois, et tu le regretteras", menace Alan.
- "Ah bon ? Et qu'est-ce que tu vas faire ? Je te rappelle que je suis la fille du président. Posez un doigt sur moi, et vous êtes morts."
- "Tu sais vraiment comment détendre l'atmosphère. Ton père n'a même pas la moindre idée de ta situation. Allez, nous la déposerons ici", répond Jordan.
- "Descends", ordonne Alan.
- "Non", répliquai-je.
- "Pardon, comment oses-tu, sale conne ?" rétorque Jordan en me portant sur son dos.
- "Laisse-moi descendre, gros porc !" hurle-je.
- "Placez-la dans la chambre froide", ordonne Alan.

Je suis éjectée dans une pièce sombre, et le froid y est glacial. Il n'y a ni matelas ni couverture. Tout ce que je souhaite, c'est sortir de cet enfer au plus vite. J'y suis depuis plus de deux heures, grelottant de froid, affamée, incapable de dormir. J'entends des bruits de pas, puis quelqu'un décide d'ouvrir la porte. C'est un homme vêtu d'un costume, aux yeux verts et à la peau blanche . Difficile à décrire, mais une chose est sûre, s'il ne faisait pas partie de ce groupe, je lui aurais bien demandé de l'aide. Mais je dois arrêter de penser à Claudia, ce n'est pas le moment. Il allume la lumière, et je peux enfin voir la pièce dans son ensemble. Une chaise dans le coin m'avait échappé. Il s'approche de moi, s'assoit, et me fixe sans dire un mot.
- "Alors, ma petite, tu as le choix. Soit tu parles, tu réponds à mes questions, et on te laisse tranquille. Soit on passe à la manière forte, et tu le regretteras", déclare -il
- "Va te faire foutre. Même si je te disais tout, tu ne me laisserais pas tranquille. Je ne dirai rien", répliquai-je.
- "D'accord", répond-il, puis il quitte la chambre.

Pensées de Claudia : Hein, d'accord ? Reviens, j'ai froid.

Cinq minutes plus tard, je sens que ça empire. Je suis dans une situation critique, et je vais sans doute mourir. Devant moi se tiennent cinq hommes musclés. Il demanda une dernière fois :
- "Tu veux vraiment maintenir ton choix ? Es-tu certaine ?"
- "Tu peux me faire ce que tu veux, je n'ai pas peur de toi. Je ne parlerai pas", réponds-je.

Pensées de Claudia : Mais bien sûr, je n'ai pas peur de cinq hommes costauds. Je vais sûrement paniquer.
Il répliqua  avec assurance :
- "Comme tu le souhaites."

Soudain, une douche froide me surprend. Je grelotte déjà, et maintenant je ne sens plus mes lèvres. Il m'interroge :
- "Vas-tu parler maintenant, ou préfères-tu continuer à te taire ?"
- "Je préfère encore mourir", répliquai-je.
- "Très bien, tu aimes les jeux ? Amenez la roue."

Au fond de moi, je savais que quelque chose de sinistre se préparait. Une roue ? Pourquoi ? Mais quand j'ai vu ce qu'ils avaient réellement, j'ai compris. Ce n'était pas une simple roue, mais une grande roue. Ils m'y ont attachée. Il explique les règles :
- "Voici les règles du jeu : j'ai cinq couteaux. Si tu as de la chance, tu survivras avec quelques blessures. Allez-y, faites tourner la roue."

C'est ainsi que ce psychopathe a commencé à me lancer des couteaux. J'avais déjà la tête qui tournait, et je sentais que j'allais vomir. Puis, il m'a touchée. J'avais maintenant un couteau planté dans la cuisse.
- "Aïe !" criai-je, puis tout est devenu noir.

Coucou mes Lovers, j'espère que ce chapitre vous a plu j'essaye de poster le plus de chapitre possible Je vous fais des gros bisous n'hésitez pas à donner votre avis et à voter. À bientôt.

L'enlèvement PrésidentielOù les histoires vivent. Découvrez maintenant