Chapitre1

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Il était une fois dans le désert d'arabie a Najd, vivaient deux jeunes enfants du nom de Leila et Qais ils étaient tout deux cousins issus de familles bédouines. Ils aimaient joué ensemble et avaient pour habitudes de faire paître les mouton de leur familles. Ils partaient ensemble a la mosquée, mais Qais passaient son temps a rêvasser et aimait écrire le nom de Leila sur son armoise en bois que d'écrire ce que son maître lui demandais.

Le maître : Qais toujours entrain de rêvé. Mais qu'es ce qui préoccupe ton esprit plus que les belles paroles d'Allah.

Qais : ne m'en voulez pas maître, il y'a longtemps que je ne suis plus maître de mes pensé. Elle me les a volé et mon cœur avec. Mon jour n'apparaît que lorsque j'aperçois son visage, les plats les plus somptueux perd leur gout en son absence, le parfum des plus belle fleurs n'égale pas celui qui émane de son corps. Donc n'en voulez guère a votre pauvre disciple qui n'a à l'esprit qu'un seul nom Leila.

Le maître : petit insolant comment ose tu avoir de tel propres face à moi. Tu mérite une bonne leçon.

Le maître le fouetta de plusieurs coups sur la main ce qui le causa des plais. Leila qui était en face toute en larme n'arrivait pas a supporté la scène, elle agenouilla en tenant le maître par la jambe et le supplia d'arrêté.

Leila : maître arrêté pour l'amour d'Allah arrêté j'en souffre. C'est lui que vous fouetté mais c'est moi qui en ressent la douleur.

Le maître : toi aussi Leila tu as perdu la raison. Puis ce que c'est ainsi je convoquerai vos père pour les en informé. Ali va en ville au près de leurs pères et dit leurs tout deux de venir a ma rencontre pour une affaire importante.

Trente minutes plus tard les voila tout deux venu auprès du maître.

Le père de Leila: Maître quel est cette affaire si urgente pour laquelle vous nous avez fait venir et qui ne peut pas attendre.

Le maître : vos enfants ont apparemment en tete autre chose que ce qui les fait venir ici. Le petit Qais a aujourd'hui eu l'audace de dire a ma face qu'il est éperdument amoureux de votre fille Leila qui elle n'a pas hésité a prendre sa défense en m'empêcher de le fouetté. D'où tiennent-ils tous deux une éducation pareil ce n'est pas digne de gens noble comme vous. Que vont dire les gens d'une attitude pareil, il ne fait pas parti de nos mœurs que de jeunes gens déclarent leur amour sans aucune honte.

De retour chez eux les deux s'entretiennent.

Père de Leila : mon frère quel affaire délicate dans la quelle nos enfants nous on mit aujourd'hui. Je n'ai pas eu le courage d'affronté le regard du maître après ce qu'il nous a dit.

Père de Qais : tu as raison mon frère si cette histoire parvient aux oreilles des gens la honte va tombée sur notre famille et on ne pourra plus marcher la tête haute devant eux. Il faut qu'on règle immédiatement ce problème

Suite a cela les deux frères décidèrent de les séparé pour préserver leur honneur. Qais et sa famille déménagèrent pour une autre ville.

Le fou de LeilaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant