Prologue

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---------------------𝟐𝟗 𝐣𝐮𝐢𝐧 𝟐𝟎𝟏𝟐-------------------

꧁      𝐕𝐄𝐍𝐈𝐒𝐄, 𝐑𝐢𝐨 𝐓𝐞𝐫𝐚̀ 𝐋𝐢𝐬𝐭𝐚 𝐝𝐢 𝐒𝐩𝐚𝐠𝐧𝐚   ꧂

Je rentrai de l'école en bus comme tout les jours d'école, mais cette fois si jetait tellement contente .. LÉCOLE VENAIS DE SE FINIR !!! les grandes vacances bonjourrrrrrr. Je rentrais avec Seth, mon meilleur ami, il habitais dans la même rue que moi et d'ailleurs dans le même bâtiment aussi.
On descendit enfin du bus et devons marcher 10 minutes avant d'arriver de l'arrêt de bus à chez nous.
- On fait la course Rora ?
Rora, c'était le surnom qu'il me donnais, bien que nous avions 12 ans c'était tellement mignon.
- Ouiii!!
Et nous courrons jusqu'à notre rue mais des bruits se font entendre et pleins de lumières se font voir dans celle ci et elle semblais boucher par quelque chose, nous essayons de passer discrètement car des policiers et des ambulanciers étaient sur notre chemin et nous pensions que si ils voyaient deux gosses de 12 ans seules dans le quartier a se moment la sa aurais pas été super super.
- Rora, tu pense qu'il se passe quoi ici ?
- Je n'en ai aucun idée.
Seth me pris la main car il vit très bien que je pris peur avec toutes c'est lumière et ce chahut.
Seth était le garçon le plus gentil que je connaisse, il était tellement bien veillant et si doux, il avait les cheveux brun légèrement ondulé et la peau assez clair et ses mains étaient chaudes cela me fis sentir mieux.
On arrivaient devant notre appartement et tout le chahut provenais d'en haut, des hommes en tenues de médecin faisait des aller et retour de en haut et on voulu entrer mais un homme en costume nous barra le passage.
- Désoler les enfants mais vous ne pouvez pas entrer ici.
- Monsieur, que c'est il passer ? Demande Seth toujours sa mains dans la mienne.
- Les enfants.. une personne est morte dans un des appartements.. une jeune femme a fait un arrêt cardiaque et sa tête a violemment cogner contre le carrelage et ce n'est vraiment pas beau à voir..
- Qui est-ce ?
Je me suis tue quand je reconnu les yeux de la dame dans le brancard, tout son corps était recouvert d'un énormément papier mais je pouvais encore voir ses yeux qui étaient ouvert et d'un vert clair magnifique, ma mère... c'était elle.

Vera amore Où les histoires vivent. Découvrez maintenant