Chapitre 1 - L'échappatoire

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Bonjour,

Comme expliqué dans la description de cette histoire, l'inspiration du 1er et 2ème chapitre reviennent à KillerLucieRay.

N'hésitez à aller jeter un œil à son travail.

Vous souhaitant une bonne lecture.

(:

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La peur gisait dans mes veines, les larmes déferlant sur mes joues rouges dû à la course poursuite qui venait tout juste de se produire dans les escaliers de la maison des Heelshire. Juste après avoir trouvé la pièce cachée dans les murs de la maison, qui devait lui servir d'habitat depuis environs une vingtaine d'année, la poupée déguisait dans ma robe rouge sang, une de mes mèches de cheveux cousu à la perruque brune posé sur l'oreiller qui devait servir de tête un frisson me traversa, quelques mouchoirs usagers étaient posés à côté de la poupée contenant je ne sais quelle substance.

« Elisabeth » gémit une voix non loin.

Mon sang se glaça, je regardai autour de moi cherchant une échappatoire qui me ferait sortir de cet endroit au plus vite avant de terminer comme Cole. « Cole »..., il n'avait eu que ce qu'il méritait.

Mon regard se posa sur une porte en métal cachés sous des gros tuyaux en cuivre qui devait laisser passer le gaz de la maison, je m'engouffrai à l'intérieur venant me recroqueviller lorsque le planché craqua derrière moi.

« Non.. non, pas toi Brahms » pensais-je en fermant fortement les paupières essayant de calmer mon corps qui tremblait dû au stresse de la situation.

J'allais surement finir comme Cole, c'était sûr.

L'attitude des Heelshire me revinrent à l'esprit. « Je suis désolée », m'avait-elle dit avant de partir en « vacances » ou plutôt me laisser entre les mains de ce psychopathe qu'était Brahms.

« Elisabeth, reviens... » suppliait cette voix de petit garçon.

Deux pieds nus, se stoppèrent devant le renfoncement où je me trouvais. Je déglutie me reculant tout en posant ma main droite sur la poignée en métal de la porte miniature prête à m'enfuir, quand tout à coup ses genoux se plièrent pour laisser apparaitre un masque de porcelaine aux traits fins tachés de sang et des yeux vert injectés de sang.

« Elisabeth », soufflait-il.

Prise de panique je pressa de toute mes forces la poignée en métal bloquée.

« N-non laisse-moi ! Brahms ! »

« Elisabeth, ne me laisse pas » gémissait cette voix de petit garçon, tandis qu'il penchait sa tête légèrement sur la gauche ses yeux vert émeraude me fixant, un regard suppliant.

Alors que j'allais reculer pour poser mes deux mains sur la poignée et ainsi forcer le passage, mon mouvement de recule me fit heurter un des gros tuyaux qui se trouvaient autour de moi. Ma vision se floutait, tout se ralentissant autour de ma personne comme au ralentit des tâches noires venant cacher ma vision « Je serais gentil... » furent les dernières paroles que je perçu.

Je fronçai les sourcils, laissant un soupire de douleur s'échapper de mes lèvres. Ma main gauche se posa à l'arrière de ma tête, tandis que je m'efforçai d'ouvrir les yeux essayant de distinguer où j'étais et si tout cela était un mauvais rêve.

Brahms Heelshire / I'll be goodOù les histoires vivent. Découvrez maintenant