Muse
J'étais tranquillement en train de dormir depuis deux, trois heure déjà. Dans ma chambre.
Avant que Fitz ne vienne me réveiller.
-Muse réveil toi.
-Mhh.
-Dépêche toi, il y a quelqu'un qui t'attend en bas.
-Qui ça ?
-Ta mère.
Sans même savoir comment mon corps se leva d'un bon.
Ma mère est ici ?
C'est impossible.
Elle m'a dit que elle ne me reverrai que quand je me serais soigné.
Qu'elle avait honte de moi.
-Il se passe quoi ? Tu es sur c'est ma mère ? Et pas une folle hystérique qui veut nous tué Lui demandais-je.
Il rigola avant de me répondre.
-Elle te ressemble comme deux gouttes d'eau je suis sur. Me dit-il.
-C'est impossible. Répondis-je.
C'est une caméra cachée. C'est pas possible. Je suis en train de rêvé.
-Si je te le dis ! Tu me fais chier, habille toi et descend voir ta mère. Elle me parle comme si j'étais ton mec. Je ne sais pas ce que lui a dis ton père mais c'est bizarre. Me dit Fitz en commençant a s'impatienter.
-Je n'y crois pas. Dis-je à moi-même.
-Putain mais quand vas tu commencé a me croire ! Me dit-il.
-Je ne t'ai jamais crue ! Toutes tes paroles, sont des paroles en l'air tu le sais autant que moi. Alors laisse moi deux secondes je viens de me réveiller!
- Descend tu verra par toi même si tu n'a pas envie de me croire.
- Muse ! Dit une fois en bas des escaliers.
Je la reconnaîtrais entre mille cette voix.
Il ne ment pas, elle est vraiment là.
Je pris un pull qui traînais sur mon lit et garda mon jogging.
Je pris la direction des marches suivi de près de Fitz. Ce qui se vit presque rassurant.
La descente des escaliers aurait eu cette impression de durer un temps interminable.
Elle est bien là.
C'est bien elle. En cher en os.
-Tu fais quoi ici ?
-Tu ne sert pas ta mère dans tes bras. C'est quoi cette attitude Muse.
Encore sous le choc je m'approcha d'elle avant de la serrer dans mes bras comme pour donner une bonne image devant fitz.
Nous ne nous enlaçons jamais. Dans cette famille personne ne montre une quel qu'onques affection envers quel quelqu'un.
Les jours de folies, les jours joyeux même ces jours la, l'affection n'était pas là.
Je ne connais pas ce mot.
Fitz ma juste montré quelques fois ce que c'était.
-Comment vas-tu ma chéri ?
-Je vais très bien merci de demander et toi ?
-Je suis très heureuse de te voir et de rencontré ce fameux fitz.
-Moi qui pensais que personne d'autre que ton père et moi pouvons t'aimer apparemment non.
-Comment ça ?
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ADDICT
Lãng mạnMuse Anders ne pense jamais au lendemain. Elle vie au jour le jour. Sans se préoccuper de ses addictions, pour la drogue et les jeux d'argent. Comment arrêter alors que Marco, son père l'entraîne lui même dans cette boucle. Elle n'a pas besoin, aprè...