𝙏𝙝𝙚 𝙁𝙧𝙚𝙣𝙘𝙝 𝙂𝙞𝙧𝙡 ( Jenna Ortega )

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~ Jenna ~

Quelques jours sont passés depuis ma « dispute » avec Iris.

J'ai bien cru la perdre.

J'ai eu tellement peur.

Mais d'un côté, je m'en veux beaucoup.

Je lui ai parler super mal alors qu'elle a toujours été là.

Je me suis excuser plusieurs fois.

Et elle n'a cessée de me répéter que ça arrivait et qu'elle comprenait.

Elle est bien trop parfaite pour moi.

Mais c'est ma copine et j'en suis ravie.

Enfin bon.

Il est 21h et Iris n'est toujours pas rentrer.

Cela fait bientôt 1h qu'elle m'a dit qu'elle partait simplement voir Emma.

Mais qu'est-ce qu'elles font ?

Je suis impatiente.

J'aimerais avoir ma blonde à coter de moi.

La sonnerie message de mon téléphone attira mon attention.

C'était Iris.

« Tu es où chérie ? » me demanda t'elle.

« Dans le lit pourquoi ? » ai-je répondu à son message.

Où est-ce qu'elle veut que je sois ?

« Parfait. » répondit elle.

« Pourquoi ? » ai-je demander.

« Tu verra. » était son dernier message.

Je resta intriguer.

Mais qu'est-ce qu'elle a ?

Une dizaine de minutes après, alors que je fixer le plafond en me demandant pourquoi Iris avait était si bizarre par message, j'entendis la porte de la caravane s'ouvrir.

- Mon cœur ? Prononça la douce voix de ma blonde.

- Oui ? Ai-je répondu, sans pour autant me lever.

La porte de la chambre étant fermer, je ne la voyais pas.

- Tu peux fermer les yeux et ne pas bouger s'il te plaît ? M'a t'elle demander.

- D'accord. Ai-je répondu.

Je fis ce qu'elle me dit et patienta.

J'entendis des bruits de pas, plutôt des bruits de talons.

Mais qu'est-ce qu'Iris ferait en talon alors qu'elle est partit en basket ?

Alors que je réfléchissais, j'entendis la porte de la chambre s'ouvrir et dans le vent je sentis un parfum, son parfum à elle.

Je respira un grand coup, me demandant ce qu'elle faisait.

- Assis toi au bord du lit. Me dit elle.

Sa voix est.. douce.. mais aussi.. sensuelle ?

Non Jenna, tu rêve.

Je fis tout de même ce qu'elle me demanda.

Quelques secondes après, je sentis une main sur chacune de mes épaules.

Son parfum enivre à présent mes narines.

Et rien n'est aussi bon que de la sentir près de moi.

- Tu peux ouvrir les yeux. Dit elle doucement.