Après le film The Boy, j'ai été surprise que l'histoire de Brahms ne soit pas plus poussé que ça lors du premier film.
C'est pour cela que j'ai décidé après avoir visionnée plusieurs tiktok et autres vidéo, qu'il était temps de donner une suite diff...
A l'heure ou j'écris, je viens à peine de terminer le chapitre V, et je ne sais pas encore vos retours dessus. J'espère que vous aurez pu apprécier ces deux personnages. J'hésite très fortement à ouvrir une page Tiktok, plusieurs de mes amies m'ont conseillé de le faire. Mais pour le moment, j'hésite encore. Même si je sais déjà quel genre de contenue j'aimerai partager.
M'enfin, là n'est pas le sujet.
J'espère que vous apprécierais ce nouveau chapitre.
(:
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Des tulipes blanche, signification d'un amour sincère. C'est ce que m'avait déposé Brahms dans la cuisine ce matin avec une tasse de café. Nous avions passé la nuit enlacés dans les bras de l'un et l'autre, à se regarder dans le blanc des yeux, à s'admirer. J'avais pris confiance de mes sentiments pour lui, pris conscience de sa beauté. Je mordillais ma lèvre inférieure, les images du baisé sous la pluie torrentielle me revenant à l'esprit. Je ne pouvais pas y croire, pourtant c'était bien réel. Il avait fait tomber le masque, j'avais vu son vrai visage pour la première fois depuis quelques mois. Il m'avait fait confiance pour me montrer son insécurité, ses brulures, ses cicatrices. Et je ne pouvais pas m'empêcher de le trouver incroyablement beau.
"Bonjour Betty" Disait il calmement, avançant à ma personne sans masque.
Je ne pouvais m'empêcher de sourire, il n'avait pas remit son masque et je savais à quel point ca lui demander des efforts. "Je ne peux pas me regarder dans le miroir, je ne supporte pas mon reflet" m'avait-il avoué hier. Je me tournais face à lui alors qu'il arrivait à ma hauteur, il baissait le regard sur moi.
"Bonjour, Brahms." Murmurais-je.
Il souriait, je pouvais enfin apprécier son magnifique sourire. Ses dents blanches et parfaitement se frayaient un chemin derrière son sourire. "Tu es beau, Brahms."
Il se penchait avant de déposer un doux baisé sur mon front. Il se servit un café avant de s'asseoir sur un des tabourets, il évitait de croiser le regard avec tout objet dans lequel il pourrait voir son reflet. Je sentais mon cœur se serrer, j'avais mal pour lui, mal qu'il se sente autant en insécurité avec lui-même et sa beauté. Mais qui pouvait le lui reprocher ? Imaginez grandir avec des brûlures, qui recouvre une grande partie de votre visage, avec la douleur qu'il a dû subir.
Je m'installais face à lui, attrapant à deux mains ma tasse de café au lait.
