Chapitre IV

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Des étendus de gazon à perte de vue, le vent doux qui souffle sur moi et emporte mes cheveux (c/c) les faisant flotter, cette impression de liberté, l'envie de courir me saisie, celle de courir et de ne pas s'arrêter avant de s'écrouler. Oui, je suis bien dans les Plaines Obsidiennes. Tout ce que je vois à perte de vue c'est des prairies verdoyantes. Et j'aime ça.

Aurel: Bon.. t'es prête ?

(t/p): Je ne pensais pas être aussi prête !

Les plaines obsidiennes, me voilà !

—[Ellipse temporel: 5 minuscules minutes]

Je déteste les plaines obsidiennes. Je sais pas depuis combien de temps je suis là, j'envisage de manger un Étourmi si je on ne me retrouve pas d'ici ce soir. J'en ai marre. Je n'ai fais que capturer des Étourmis et des Keunotors parce que le reste de la zone est « trop dangereuse ». Je me suis faites attaquer par au moins 3 Lixy different, et je suis tombé dans un étang. Je suis mouillée jusqu'au genoux. Et j'ai perdu Aurel. Arceus aide moi, je t'en supplie. Mais bon, au moins, mon Hericendre est avec moi. Ainsi que la quinzaine Étourmis et Keunotor, mais bon...ils ne sont vraiment pas vraiment en capacité de me défendre. Alors que je me suis assise sur un caillou (en vérifiant bien qu'il s'agisse d'un caillou), je sort mon cher petit Pokémon. Je vais prendre une petite pose pour remettre mes idées au clair, mais pas de soucis, je ne vais pas déprimer !

(t/p): Emmenez-moi à la morgue directement, j'ai déjà un pied dans la tombe. Je veux rentrer chez moi. En plus j'ai perdu Aurel, je suis toute seule au milieu de la forêt. Venez m'aider ! Si c'est pas Aurel, n'importe qui ! Même Camille ça me ferait plaisir !

Ah la la. J'ai échouer. Tout ce que je fais, c'est broyer du noir et ruminer mon désespoir. Ça ne mène à rien. Je soupir. Peut-être que je ne suis pas faites pour cette vie de scientifique d'un autre siècle.

?: li...li !

Oh ! Ce cri, c'est un Pokémon de la famille d'Évoli. Phyllali ? Adamantin serait là ? Le Pokémon sort enfin des buissons. Un...Givrali ?

Et sa dresseuse le suis

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Et sa dresseuse le suis.

Nacchara: Ah Givrali, tu est l-

De tout les humains, la seule devant qui je ne devais surtout pas montrer mon incompétence: c'est elle.

Nacchara: Oh, la femme du ciel...

C'est quoi ce ton triste, moi aussi je suis déçu de te voir je te rappelle. T'as vraiment pas été commode ce matin. Raaaah. Je souffle par réflexe et me met à regarder le ciel.

Nacchara: Je tenais a m'excuser solennellement.

Hein ? Quand je baisse enfin les yeux sur elle, je remarque qu'elle est agenouillée par terre pour me demander pardon. Mais tu n'as pas tuer mon père non plus ! Bon t'as essayer de me tuer mais-

Bleu comme le ciel [Adamantin X reader- Pokémon]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant