Le début de la fin 🥃 { PEAKY BLINDERS }

Chapitre 23 : guerre

Ça fait maintenant 2 heures que Thomas est parti discuter avec quelqu'un. Je n'ai aucune idée de qui sait, mais vu sont visage quand il est parti cela devait être important.

Il était crispé, la scène où il fini sont whisky d'une traite et sort de la pièce les mains dans les poches passe en boucle dans ma tête. Il ne m'a pas lancé un regard, comme si il était beaucoup trop préoccupé et surpris par cette visite inattendue.

Je fini mon whisky irlandais et en commande un autre. Ni une ni deux c'est une dame blonde qui me sert. Elle a un regard assez insistant à mon égard.

- j'ai remarquais que vous m'observer depuis un moment. Qui a t'il ?

Elle sursaute, elle semble surprise par ma question.

- l'homme avec qui Monsieur Shelby est parti. Il est dangereux...vous devriez faire attention

Dangereux ? Thomas semblait bien le savoir.

- que savez-vous sur lui ?

Elle fuit mon regard et pose la bouteille de whisky sur la table. Dans un bruit sourd mais délicat le verre et le bois s'entrechoquent.

- il s'appelle oswald mosley, est moins on en sait mieux on se porte croyez-moi...

- où sont t'ils ?

La dame me regarde d'un air surprise, je ne la connais pas. Mais quelque chose me dit qu'elle sait des choses qu'elle ne souhaite pas partager avec moi.

- aucune idée

Comme par hasard.

- passez une bonne soirée

Je me lève et sors de là pièce du salon privé, les clients me regarde avec un air interrogateur.

- madame votre verre !

Elle me crie quelque chose d'inaudible mais je passe la porte pour aller dehors. Ma mission d'aujourd'hui c'est de trouver thomas.

Où est ce qu'un Shelby peu être pour parler affaire ?

Les bureaux ? Non.

A l'hippodrome ? Évidemment que non, il y a beaucoup trop de monde. Même si là dernière fois nous avons était confronté à cette situation.

Il ne reste pas cent mille options. Le manoir, mais Thomas emmène que des personnes qu'il connaît très bien. Après me direz-vous, il se renseigne sur tout le monde. Il n'est pas dupe.

Élipse

J'entre dans le manoir du bruit provient du bureau de Thomas. Trouver.

Je m'approche de la porte et essaye d'écouter la conversation. Oui je sais il y a plus classe mais j'ai bien compris qu'il y avait un gros manque de communication dans cette famille alors pas le choix. Surtout si je veux savoir la vrai version.

- Écouter monsieur Mosley, vous ne ferait pas de mal à Alice, que ce soit bien clair entre nous il lui arrive quelque chose je vous ferais payé à vie.

Thomas semble très énervé. Mais le plus choquant pour moi c'est pourquoi on me voudrait du mal ? Est ce en rapport avec Luca Changretta ? Est t'il revenu ?

- Monsieur Shelby, calmez vous s'il vous plaît. Voyons je ne suis point venu en ennemie, non au contraire je suis là en camarade, en ami. Vous comprenez ?

- Ce que je comprend c'est que même mes camarades et mes amis m'on trahis pendant la guerre, alors pourquoi pas vous ?

- Nous avons un ennemi commun, Changretta, nous voulons tout les deux la même chose ! On le savait depuis le début c'était évident pour Alice.

Ils étaient tous deux trop intelligents pour perdre leur sang-froid. Ceux qui s'emportent sont toujours ceux qui perdent.

Le beau brun avait l'admiration et le respect de tout le monde mais dans des situations comme cela il énervait toute la famille. On le sait tous l'énervement dans des conflits n'a rien de bon.
Pourtant dans celui ci, la colère était là bienvenue.

- Alice n'a rien à voir là dedans. Je vais vous demander de partir Monsieur Mosley je vous ferais parvenir ma réponse.

Si il y a bien une chose que j'ai retenue de Thomas c'est qu'il préfère ne pas piquer tout de suite les gens. Il préfère se renseigner sur eux, tout savoir. Jusqu'aux derniers repas qu'il ont manger. Pour ensuite piquer dans le vif est être sûr d'anéantir sont ennemi.

- Très bien, passer une bonne fin de journée monsieur Shelby.

- De même pour vous.

Je m'éloigne de la porte et part dans le salon à côté du bureau de Thomas. J'entends l'homme sortir et claquer la porte du bureau de ce dernier puis la porte d'entrée. Il ne m'a pas vue, heureusement.
Cette conversation était beaucoup trop bizarre il me faut des explications.

Je me dirige vers le bureau et ouvre la porte. Thomas est assis devant sont grand bureau en chêne, fumant une énième cigarette.

- Le médecin a dit qu'il fallait pas fumer avec t'es médicaments.

- Tu te préoccupes de moi ?

- Toi aussi apparemment, j'espère que t'on entretien c'est bien passer avec Monsieur Mosley. Mais la prochaine fois quand tu as des choses à me dire ou que des personnes on des problèmes avec moi vient me voir directement.

- Bien, je vois que t'as écouter aux portes apparemment. Cela ne te regarde pas.

- Quand mon nom est cité cela me regarde tommy.

POV Thomas :

Elle est là devant moi, les deux mains posé sur un des fauteuils trônant devant le bureau. Des mèches brunes tombes sur sont visage elle est magnifique. Que faire ? Encore la contredire ? Je n'aime pas sa, pas avec elle. Elle m'énerve tellement, mais tellement.

Et, ce que je déteste le plus chez elle, c'est la façon qu'elle a de me regarder, celle qui me fait peu à peu retomber amoureux...

Elle est mon unique poison, et je le sais bien. Mais le destin fait bien les choses. on se retrouvera comme on se perdra encore et encore....

Je tire sur ma cigarette une énième fois. La fumée s'échappe de ma bouche pour se fondre dans l'air de la pièce. Puis je lui demande

- Donc tu viens ici pour savoir quoi ?

- Pour tout savoir

- Très bien,

Je retire sur ma cigarette et réfléchi un instant pour formuler ma phrase. Ma tête est appuyée contre le dossier de ma chaise, je me tourne légèrement pour la regarder. Elle a l'air d'attendre attentivement ma réponse.

- Luca Changretta est revenu, il est plus qu'énervé contre toi. Il veut t'as mort. Mosley aurait des informations sur lui mais vu l'antécédent que j'ai avec lui je ne lui fait pas plus confiance que ça, c'est pourquoi tu vas rester avec moi tout le temps à partir de maintenant.

Elle fronce les sourcils et me regarde méchamment. Et dans un aboiement elle me lance

- c'est bien pour ça que tu ma laisser rentrer toute seule. Il en est hors de question !

- tu n'as pas vraiment le choix, c'est soit ça, soit la mort.

Et nous savons tout les deux très bien que Changretta ne rigole pas. Loin de là.

- Vas te faire foutre.

Je rigole, elle est pas sérieuse ? J'essaye de l'aider et elle me remercie comme ça. C'est pas possible.

- si ça peut te faire plaisir.

Elle semble confuse ne s'attendent sûrement pas à cette réponse de ma part.

- pourquoi tu rigoles ?

Je reprends mon sérieux et me repositionne correctement sur ma chaise. Je croise mes mains sur le bureau et là regarde droit dans les yeux.

- qu'est ce que tu veux au juste ?

Elle prends une grande respiration.

- la guerre thomas !