Les Limites D'un Amour ?

L'aimée d'une étoile

Izumi

Les documents, ministres, gente demoiselle ne font que des irruptions et aller retour dans mon bureau. Je suis fatiguée pourtant il n'est que dix huit heures. Ma tête bascule en arrière essayant d'imaginer ce qu'elle fait. Dans quelques jours, je serai "papa" ça donne une sensation bizarre mais au fond c'est agréable.
- Mitor peux tu boucler les derniers dossiers pour moi.
- Non.
- Merci qu...quoi?!!
- Moi aussi j'ai à faire alors rdv demain à 5h, d'accord ?
- Tu veux me tuer ou quoi ?
- Pas maintenant...non.
- D'accord à demain.
Il me fit signe d'un hochement de tête. J'abandonna mes lunettes pour me pincer l'arrête du nez. J'ai envie d'un massage en profondeur. Assurer la sécurité et la paix est bien plus compliqué à faire qu'à dire. D'un geste sec il rabattu sa cape en arrière. Sillonna les longs couloirs du palais après la guerre des rénovations s'étaient imposées, le château de pierre de son enfance avait laissé place à un palais de dix bâtiments somptueux. Mais il avait gardé sa chambre d'enfant intacte peut être la montrerai t-il à sa descendance. Différents tableaux placardés les murs, il se stoppa devant l'un d'eux, celui de sa famille, il n'était encore qu'un jeune gamin enthousiaste et farceur, même sur ce cadre sa mère le tenait fermement pour qu'il ne s'échappe pas. Sa mère, maman murmura- t-il... Sa mère était douce et affectueuse, tout le contraire de Rély, elle préférait l'adrénaline du combat et ne pouvait rester en place plus de deux jours, son attitude actuelle était dû aux hormones.... Quant à son père droit, sérieux, froid mais aimant en privé. La nostalgie du temps le frappa mais il avait une nouvelle famille à présent.....

À peine eût-il passé le seuil de la porte de sa chambre qu'il failli glisser, des livres jonchaient le sol partout sur le lit, les canapés, les placards, tables de nuit et basses. Un capharnaüm, ses yeux se plissèrent d'énervement, il vivait avec un rat de bibliothèque, lui qui avait hâte de la retrouver il regrettait déjà la propreté de son bureau. Il referma chacun des livres un à un en pensant que peut être se serait plus propre.
- Que fais tu? Le questionna t-elle étonné de son action.
- La chambre n'est pas la bibliothèque.
- C'est juste quelques livres.
- C'est toute la chambre oui!
- Doucement, calme toi je rangerai lorsque j'aurai terminé.
- Et que recherches tu ?
- Juste de la religion.
- T'es croyante maintenant ? Demanda t-il stupéfait..
- Non dit-elle simplement.
- Hunn ...
D'un revolver le livre entre ses mains atterri à l'autre bout de la chambre.
- Je rêve ou mon livre traîne dans un coin de la chambre.
- Oui il t'occupait plus que moi.
- T'es vraiment un gamin mais j'ai pas le temps fint elle en prenant un autre livre sur le lit. Va prendre une douche en attendant le dîner.
- Madame vous avez des obligations envers moi.
- Et vous des droits à respecter.
- Mais...
- À la douche et tout de suite.
- Pff... C'est sûr que tu peux abandonner l'enfant dans un coin de bibliothèque.

Rélycca

Les dires de cette vielle folle m'avaient perturbé. J'ai alors entrepris de mieux m'informer sur ce Vishu. Comment une simple mortel comme moi peut donner naissance à la progéniture d'un dieu, de plus il ne m'est jamais apparu. J'étais tombée enceinte avant que sa constellation ne se brise. Et si mon enfant n'avait pas les cheveux argentés on m'accuserait d'adultère. Tout ce stress n'est pas bon pour moi.
Le dîner s'était déroulé dans le silence total seul le bruit des couverts résonnait dans l'immense salle à manger. Nous nous étions couchés à temps par peur de le voir me rejeter à cause de cet enfant, je tenais Izumi de toutes mes forces dans son sommeil il ne pouvait connaître mes soucis et le fond de mes pensées. Finalement je trouve le sommeil aux environs de minuit...

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Le sable est chaud.
Tes yeux purs.
Ton corps magnifique.
Je rêve de te faire mienne au cours d'une centaine d'assauts.
Le temps n'abîmera jamais la déesse que tu es.
Et mon corps refroidit par le temps se réchauffe qu'à ton unique présence.

Les yeux levés vers le ciel, elle ni comprenait rien. Il y a encore quelques minutes elle dormait dans les bras de son époux et maintenant... Maintenant elle était en plein désert, dans une robe, bleue marine en soi très légère, ses cheveux rabattus sur l'une de ses épaules étaient recouverts de pierres précieuses. Ses lèvres étaient recouvertes de miel pas dégoulinant, elles avaient juste ce goût. Elle regarda autour d'elle. Rien de reconnaissable juste des dunes à perte de vue.

- Que vous êtes sublime mon aimé.
Elle crût émettre un cri à la présence du jeune homme. Il avait la carrure d'un dieu sculpté dans du marbre, sa tenue olympienne laissait apparaître son torse plein d'abdos et des pectoraux qui pouvaient se mouvoir sur commande. Ses cheveux châtains dont la couleur se rapprochait d'un rose vraiment pâle. Derrière sur son dos, un arc y était accroché et ses lèvres d'un rose pâle envoûtant étaient un appel à la luxure.
- Qui êtes vous?
Il s'approcha pour embrasser l'une de ses mèches.
- Votre odeur est aphrodisiaque.
- Je vous ai posé une question ?
- Mon nom est Vishu dieu de la séduction et de la chasse dit il en claquant sa langue.