C'est juste grotesque

Une rencontre fortuitement fortuite

POV Thiméo:

Je m'appelle Thiméo, j'ai 68 et je fais des études en médecine car j'aime toucher les organes de cobayes sans vie, j'aime la sensation de toucher de la viande flasque. Je suis actuellement en stage dans l'hôpital du bon-vouloir.

Je sors de la salle d'opération et me dirige vers ma prochaine consultation

L'hôpital a été décoré par l'aile sud, celle des toxiquos et des diabétiques, leur seul point commun c'est qu'ils ont l'habitude des aiguilles. Guirlandes remplies de canabis ou seringues d'insuline dissimulées dans l'hôpital, même sur toutes les différentes vterrasses, ces malade littéralement et dans le sens figuré se sont fait bien plaisir. Alors que j'arrive dans la chambre, je croise le regard avec son occupant, je me fige et un échange long s'en suit, une éternité...

- Pardon, trompé de chambre, m'excusais-je remarquant que l'occupant était un homme alorsd que je cherchais Mme Chuchichäschtli.

Je regarde le numéro de chambre qui était caché par de l'osier...ces satanés cas de l'aile sud.. Je remaque que j'ai le bon et donc rouvre la porte.

- Mme Chuchichäschtli?

J'entends une voix masculine.

- Oui, c'est moi.

Ce gros mec à bide à bierre avec une barbe de deux jours était une femme? Décidément on voit de tout de nos jours.

- Donc..euh...Monsi..MADAME... vous vous êtes ouvert la jam...,

- OUI DONC ALORS QUE J'ASSAISONAIS MES PATATES

Elle me cria dessus en me crachant sa salive froide dessus, quel grotesque personnage...

- J'AI FAIT TOMBER MON COUTEAU ET........SCHLACK¨

Le couteau de cet imbécile était tellement émoussé qu'il a attrappé le tétanos

- Monsieur j'ai des nouvelles de l'analyse, et....

- JE PEUX RENTRER? SUPER!

- Non, mons..ahem, madame, il va falloir couper toute la jambe jusqu'au bras.

Elle agrippa sa laine et comença à s'arracher les ongles comme on enlèverait des écorces à uin arbre. Alors qu'elle faisait ça, je ressentit alors une douleur intense dans les amygdales. Je m'écroule par-terre et la laideronne me saute dessus et me fait du bouche-à-bouche cette perverse. Mais la douleur s'évade et je me relève vite.

- Vous m'avez sauvé la vie.

- OUI, ET J'ESPèRE QUE VOUS SAUVEREZ LA MIENNE AUSSI.

Et alors que j'approchait ma tête de la sienne et sentait ses grosses lèvres pulpeuses et pleines de rides, je sentit que notre histoire n'allait pas s'arrêter là...................................................... .......................................................................................................................................................