PROLOGUE

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En l'an 597 de l'ère Rican, il y eut un grand royaume du nom d'Inastima, où mortels et créatures magiques cohabitèrent ensemble en harmonie.
Un beau jour, le Roi Alyominus, un homme fort et doux avec son peuple, ainsi que sa femme Enalya, décidèrent d'organiser un grand événement pour fêter la naissance de leurs quatre enfants.
À la suite de ces naissances, le roi et la reine voulant célébrer l'évènement, invitèrent tout le peuple au château pour fêter cette heureuse nouvelle.
Pour cette célébration, le couple royal organisa un grand banquet où bon nombre de mets étaient disposé ainsi que plus de sortes de gibiers que le peuple connaissait.
Au commencement des festivités, le roi et la reine firent leurs apparitions, au sommet d'un immense escalier ornés de diverse joailleries et moulure.
Le peuple les apercevant au loin, commencèrent à les acclamèrent.
Le roi avançant, dit à son peuple : « Peuple d'Inastima, moi, ainsi que la reine, vous remercie de tout cœur de votre présence en ce lieu. Il y eut un temps oû nos races étaient en guerre. L'unification de nos peuples me rend fier et nous procure à tous une joie immense ! ». Après ces belles paroles, la reine avança à son tour et déclama « QUE LE FESTIN COMMENCE ! ».
Le peuple étaient heureux de cet événement, du cochon grillé au-dessus d'un feu, des nains organisèrent un jeu de bras de fer, les elfes avec les fées chantèrent un chant pour la gloire des nouveaux nées...
Tout était parfait.
Le Roi et la Reine étaient heureux de ce qui se passait et décidèrent de se mêler à la foule pour festoyer.
Corlius, mage et conseillé du roi, s'avança vers ces derniers pour les féliciter de cette joyeuse nouvelle.
« Mon Roi, ma Reine ». Dit-il en s'inclinant légèrement.
Le roi lui sourit et lui dit :
- Corlius, mon vieil ami, relève-toi donc, nul besoin de faire la révérence. Tu es mon plus fidèle conseiller et une personne en qui j'ai toute confiance.
- Cela est évident, mais je vous dois avant tout un respect irréprochable. Lui répondit Corlius.
Le roi, laissant échapper un léger gloussement « Cela fait combien de temps que nous nous connaissons ? Combien de fois s'est-on battu côte à côte ? »
Corlius ne sachant quoi répondre à cela, sentit la main du roi se poser sur son épaule en guise de considération. Celui-ci lui dit « Aller, profite et va festoyer ».
Les heures passèrent et tout le monde s'amusèrent, la fête battait son plein.

Deux gardes, qui sont chargés de surveiller les alentours du château sont sur la muraille.
Soupirant, un garde dit « La fête à déjà commencer et nous, nous sommes ici à surveiller ».
Un autre garde lui fit un sourire narquois, levant sa cape laissant montrer à sa ceinture une bouteille d'alcool.
« Mais... nous n'avons pas le droit ! » s'éxclama ce premier.
Le second, en finissant de boire de grandes gorgées, lui tendit la bouteille « Ecoute, tout le monde s'amuse en bas. Pourquoi pas nous ? Et puis... en prenant une posture imposante. C'est pour festoyer la venue des jeunes princes et princesses. » lui répondit en riant.
Le jeune soldat, riant à son tour, prit la bouteille s'apprêtant à boire puis s'arrêta net en entendant un bruit. Il s'approcha du rebord et dit à son camarade « tu entends ça ? ».
Celui-ci s'approcha à son tour du rebord et pointa du doigt la forêt et lui répondit « mais qu'est-ce que c'est ? ».
Tous deux virent au loin une épaisse fumée noire qui forma un tourbillon et aussitôt apparut au loin des créatures démoniaque et bestial sortant de la forêt.
« Des... DES LYCANS ! ».
Ces créatures avait tous une allures bestiale. Mi homme, mi loup, certains étaient sur leurs quatre pattes tandis que d'autres étaient sur leurs pattes inferieurs.
Pris de panique, ils allèrent sonner la cloche la plus proche pour signaler le danger.
Aussitôt la cloche sonner, une harpie assoiffée de sang pris un des gardes et s'envola avec lui avant de le lâcher.
Entendant la cloche sonner, le roi compris que le royaume se fit attaquer.
Un vitrail éclatant dût à une harpie qui a foncée dessus, le roi le tua d'un coup d'épée en la décapitant.
Le roi, brandissant en l'air pour avoir l'attention.
« Soldat, le royaume est attaqué. Protéger les civils et protéger se royaume au péril de votre vie ! POUR INASTIMA » dit-il.
Les soldats emplis de courage sortirent à leurs tours leurs épées et se mirent en position de combat, tandis que ceux qui sont situé en hauteur, préparèrent leurs harbalètes.
Le roi, se retournant, voyant Corlius à se préparer pour le combat, il alla le voir et lui dit « Corlius, va avec la Reine et les enfants loin de la ville, quelques soldats seront avec vous pour vous protéger ! ».
Corlius lui répond « Bien mon Roi, et vous ? Qu'adviendra-t-il de vous ? Nous devons aussi vous protéger ».
Le roi, posant sa main sur l'épaule de son ami et lui répondit « Ma place est ici et mon rôle est de protéger le peuple d'Inastima. Maintenant, allez-vous-en ! en le poussant. Le temps en est compté ! ».
Corlius ne dit plus un mot et se mit à agir.
Entendant les grognements qui sont derrière la grande porte, le roi se mit aux côtés des soldats et se mit en position de défense, tandis que les sujets paniquèrent et se cachèrent comme ils pouvaient.
Corlius, accompagné de la reine portant les enfants et suivis de quelques soldats, prirent une monture et la reine entra dans une calèche. Le soldat, qui est au rennes des chevaux claqua le fouet pour faire galoper les chevaux et sortirent de la ville, qui étaient déjà en feu.
Des lycans essayèrent de barrer la route et des harpies essayèrent d'empoigner de leurs serres mais les soldats qui sont à cheval réussirent à les trancher en les dégageant de leur passage.
Une fois sortit de la ville, la reine sortit sa tête pour voir Inastima, le château qui est en proie des flammes... à cette vue, des larmes coulèrent sur ses joues.
Soudainement, une explosion jaillie ce qui fit basculer le carrosse et le fit tomber à la reverse. Les chevaux hennirent de douleur des harpies les tuas et des lycans tua sans difficultés les quelques soldats qui étaient charger de la protection de la reine et des enfants.
Une sorcière, vêtue de robe noir brodés de rouge en lambeaux apparut face à la reine et de Corlius tandis que les lycans les encerclaient.
- Tiens tiens tiens, mais qui avons-nous là ? Dit sarcastiquement la sorcière à la vue de la reine à terre et de Corlius. Une reine et de son chien et... à la vue des enfants, oh intéressant. Dit-elle en faisant un large sourire.
- Ma... Malya, j'aurai dû me douter que c'était ton œuvre, dit la reine se levant. Que viens-tu faire ici ? se préparant à se défendre.
- Ma très chère Enalya, heureuse de te revoir aussi. Je vois que tu es toujours accompagnée de tes « toutous ». Regardant autour d'elle, oh... ils sont morts. Ajouta en riant.
Voyant Corlius se lever avec les petits aux bras, elle rétorqua aussitôt :
- Mais... je viens récupérer ce qui m'est dût et en échange, je vous laisse la vie sauve.
- Tu n'as rien ici qui t'appartiens sorcière, retournez d'où vous venez toi et tes sbires ! dit Corlius.
- Oh, mais bien au contraire, vous vous trompez... « Professeur ».
En entendant la sorcière l'appeler ainsi, Corlius fit apparaitre une sphère qui protège les enfants et rétorqua :
- Tu t'est détourner de mon enseignement, certes je t'ai appris la magie... mais pas celle que tu pratique... dit-il avec tristesse. Tu mérites la mort. Se mettant en position d'attaque.
Malya ricana :
- Que c'est attachant. En s'adressant aux lycans, tuez-le, moi, je me charge d'elle. Et se mit face à elle en balançant une boule de feu.

La reine, prit un bouclier d'un soldat à terre et se protégea des flammes in extremis.
La sorcière, amusée continua de la charger avec des sorts magiques.
La reine voyant la puissance de son ennemie ordonna « Corlius, fuyez et protéger les enfants. Je vais faire quelque chose qui risque vos vies ! » dit-elle avec fermeté en gardant du regard la sorcière.
Corlius, comprenant de quoi elle parle, fit un sort pour que les sphères protégeant les enfants les suivent et commença à courir dans la forêt.
La sorcière, voyant le mage s'enfuir avec les enfants « Poursuivez-le et surtout, ramenez-moi les enfants en vie ! ».
Les lycans commencèrent à grogner, les harpies déployèrent leurs ailes et poursuivirent tous Corlius qui disparurent dans la forêt.
- Nous voila que tout les deux. Un combat à mort, ça te dit ? Dit Malya à la reine.
- Oh grand Dieu Kamün, dieu de la force et du courage entend ma voie Dit-elle en se levant. Prête-moi encore une fois ton pouvoir et mon esprit sera tiens ! OH GRAND DIEU KAMÜN, TOI QUI JADIS COMBATIS LE MAL, AIDE MOI A COMBATRE A NOUVEAU LE MAL.
Sur ces mots, une lueur puissante aveugla la sorcière et fit une onde de choc qui fit apparaitre une bourrasque.
La sorcière, reprenant la vue, vit que Enalya avait changée. Elle portait une armure d'or et scintillante, des ailes sont sur son dos et elle à une épée.
- Hum, tu pense pouvoir m'atteindre avec cet accoutrement ? dit la sorcière.
La reine pointant son épée en direction de Malya :
- Oui, avec l'épée Kardmou, je vais t'exterminer une bonne fois pour toute ! se ruant sur la sorcière à une vitesse folle.
La reine fit des coups d'épée et chaque coup fit une entaille au sol.
« Hahaha, tu es bien trop lente Enalya ! dit Malya évitant chaque coup, même avec l'aide de ton dieu tu ne m'atteins pas à la cheville. »

Pendant ce temps, à la forêt, Corlius réussit à prendre de l'avance sur ses assaillants.
Entendant les grognements s'approcher et des cries stridents, il fit un geste de la main sur les sphères.
« Armsos »
À ces mots, les sphères ainsi que les enfants disparurent.
Corlius fit volte-face aux lycans et aux créatures ailées.
Se faisant encercler, un d'eux l'attaqua par derrière. Chose que le mage réussi sans difficulté à esquiver.
Voyant que Corlius était bien agile pour son age avancé, ils décidèrent de l'attaquer en même temps.
« MORKOVUM » incanta Corlius.
Les lycans et les harpies s'arrêtèrent tombant au sol et commencèrent à maigrir à grande vitesse, comme s'ils se faisaient manger de l'intérieur jusqu'à devenir poussière.
Corlius, essouflé, incanta « Durmos » et les sphères réaparurent. Corlius alla donc rejoindre la reine.
Quelques minutes plus tard, il arriva enfin à rejoindre la reine mais c'était trop tard.
« MA REINE » dit Corlius la voyant gisant au sol en sang au pied de Malya.
« Je me suis bien amusé, dit la sorcière en piétinant la reine, je reviendrai plus tard reprendre ce qui m'est due. En attendant, je vous laisse. » dit-elle en riant tout en disparaissant à travers une fumée noir.
Corlius courut voir la reine, mal au point et ayant du mal à respirer elle dit :
- Les... les enfants, où sont-ils ?
- ils sont là. Les montrant protéger dans une sphère magique.
- Je suis soulagée. Répondit-elle avec un léger sourire. Corlius, je... je vais te donner un dernier ordre...
Corlius s'agenouillant pour l'écouter :
- Tout ce que vous voudrez...
- Protège les au péril de ta vie... apprend leur la magie, apprend leur à se battre, se défendre...
- Oui, ma reine. En lâchant une larme.
Voyant que la reine avait lâcher son dernier souffle, Corlius fit fermer les yeux de la reine. Se leva avec regret et avec les enfants se dirigea dans la forêt.

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⏰ Dernière mise à jour : Nov 07, 2023 ⏰

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LA LÉGENDE D'INASTIMAOù les histoires vivent. Découvrez maintenant