Uchiha Tomie, jeune kunoīchi du village cachée de Konoha, va se retrouver dans la folle ère de piraterie que connais un monde étranger au sien. Entre passé et présent, la jeune femme devra apprendre à vivre avec la mort d'êtres chères. Va t'elle réu...
Le chaos ! Il régnait en maitre dans les rues de Konoha. Le chakra de Kyūbi avait envahit les rues, il empestait la haine. Je maudissait à cet instant mes sens surdéveloppés et ma maitrise du fluide perceptif..... Malgré moi, j'entendais à la fois leurs coeurs et leurs voix s'arrêter... Il fallait tout de même que je me ressaisisse, je devais sauver le maximum de personnes, c'était mon devoir.
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Apres avoir mis en sécurité tout les survivants que je pu détecter, c'est au près de Minato et Kushina que j'accourus.
J'avais jusqu'à lors fais taire mon pressentiment, mais il se confirma lorsque je les vis tout deux se faire transpercer par une griffe de Kyūbi...
Une fois la barrière brisée et Kyūbi sellé, je me précipita vers eux, les larmes aux yeux..... J'avais déjà perdu ma famille une fois, je ne voulais pas revivre ça de nouveau.
-Tomie, tu veut bien prendre soin de Naruto pour nous, s'il te plais ? Me demanda Kushina.
-Oui je t'en pris tu veut bien être sa grande soeur et veiller sur lui ? Ajouta minato.
-Vous n'avez pas besoin de me le demander.... Je veillerais sur lui.... Dis-je avant de fondre en sanglot.
-Merci, nous sommes très fiers de toi Tomi-chan. Annonça alors le couple d'une même voix.
Avant de ne pousser leur dernier soupir, Kushina remis délicatement Naruto dans mes bras...
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Il pleuvait, comme si le ciel lui-même nous témoignait sa peine. Le petit Naruto que je tenais dans mes bras, lui aussi pleurait....
Ma tristesse était infini mais je ne devait pas m'apitoyer sur mon sort...
Le monde venue pour cet "événement" partait peu à peu, je sentit tout de même une main se poser sur mon épaule, je n'avait pas besoin de tourner la tête je pouvais reconnaitre le Chakra de Kakashi.
-Tu devrais rentrer, il pleut. M'avait-t'il dit tout simplement.
Je n'avais fait qu'hocher la tête, avant de moi aussi quitter ce lieu devenue oppressant pour moi.
¨¨¨¨¨¨5 années plus tard¨¨¨¨¨¨¨¨
Mes petites crevettes avais bien grandit.
Aïko fêtait ses 6 ans, elle marchait réellement dans les pas de son frère, ce qui le rendais plus heureux que jamais.
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