Chapitre 39

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Viktor glissa le signe de son futur dans sa poche et pris place sur le lit. 

Annabelle prenais son bain et il devait absolument lui parler. Il était tant qu’ils prennent tous les deux un nouveau départ. Une décision qui avais été plutôt difficile de son coté, du-t-il admettre mais complètement nécessaire. 

Quand elle sorti simplement vêtu de son peignoir rouge, Viktor ne put s’empêcher de penser que toutes hommes rêverais de l’avoir à son bras. Elle était ravissante.

- Tu es là ? Demanda-t-elle négligemment en se séchant les cheveux d’une petite serviette. Je te pensais encore à cette taverne insalubre… ou avec ta maitresse.

- J’attendais que tu sortes de la douches pour te parler de ce qui c’est passer ce soir.

- Pas besoins d’en parler tout était clair. Tu n’as pas pu t’en tenir à ma décision de rester loin d’elle. Tout le monde pouvait voir à quel point ton regard déviait vers elle à chaque fois. J’ai même eu des remarques à ce sujet. Ironique nor ?

- Je te demande pardon. Tu méritais que je te respect. J’ai gravement faillit raisons pour laquelle j’annule la dette que ta famille a envers moi.

Elle se retourna les yeux écarquillés.

- Tu veux dire… mais Viktor, il s’agit de trente millions d’euros. C’est énorme, même pour toi.

- Je tiens à te l’offrir comme cadeaux.

Elle se précipita vers luis et l’enlaça fiévreusement.  

- Papa et maman serons au ange, si tu savais a qu’elle point ils avaient hontes de te regarder dans les yeux à cause de cette dette.  

- Je veux que tu sois heureuse Anna. 

- Et je suis heureuse amore. Mais dis-moi nous ne nous marrions pas demain tout de même, tu aurais pu me faire la surprise pour…

Elle perdit soudainement son sourire quand son regard croisa le sien et se recula comme électriser. Sa serviette lui tomba de la main et ses lèvres se mirent à trembler.

- Ce n’est pas un cadeau de mariage mais d’adieu. Tu me quittes !

- Je suis désolé.

- Tu me quittes pour cette femme ? Cette…

- Ne l’insulte pas. Si tu dois reporter ta colère sur quelqu’un c’est sur moi.

- Tu veux me dire qu’elle n’a rien à voir la dedans ? Dans cette décision irréfléchie que tu prends sans l’ombre d’un regret ?

Viktor ne put lui expliquer. Comme l’homme du bar l’avait dit, il avait pensé à son avenir. Quand il était monté dans sa voiture il était resté le front sur le volant une bonne vingtaine de minutes à réfléchir a son future. Quand il s’était projeté cinq ans dans le futur.

Il se voyait garer sa voiture dans le parking de leur petite villas dans les Cuckmere volley un vendredi soir après trois jours d’absence. Maison dans laquelle ils passeraient cinq mois sur douze. Il se voyait saisir sa mallette avec empressement et se diriger vers l’entrée. Il voyait son fils débouler dans les escaliers et se jeter dans ses bras sous les réprimandes de leur gouvernante.

- Tu m’as manqué papa, la prochaine fois maman et moi on vient avec toi. 

Il se voyait embrasser le sommait du crane de son fils et lui promettre qu’effectivement ca seras le cas. 

- Ou est ta mère ? 

- Dans la cuisine. Elle prépare un gâteau à l’orange pour toi. Mais c’est une surprise…

Au Château du Comte (suite)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant