CHAPTER ONE

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- Allez Mme.Aldobrandini, c'est l'heure de se lever aujourd'hui c'est la rentrée ! Dit Diana, ma femme de chambre tout en ouvrant les rideaux.

Elle est trop joyeuse comparé à d'autre, moi.
Je me tourne pour être dos à la fenêtre et face à mon autel.

- Pas l'heure. Je murmure avec difficulté en tirant mes couvertures sur mon visage pour me cacher de la lumière du jour, même si j'ai les yeux fermés.

Je sens un poids derrière moi, Diana. Elle se penche au-dessus de ma tête pour tirer la couverture de ma face. Elle pose ses doigts froids et détériorés sur mon front et commence à me faire des papouilles tout en me disant :

- Madame je sais que c'est difficile de se lever si tôt après des vacances où vous pouviez vous levez quand vous vouliez mais aujourd'hui c'est la rentrée. Ça doit l'être encore plus car vous savez que vous ne verrez pas votre meilleure amie au lycée mais vous allez réussir à passer une très bonne rentrée j'en suis sure. Maintenant levez vous si vous ne voulez pas que votre mère débarque. Elle part précipitamment me préparer un bain tout en dansant et chantant.

Je l'adore elle me fait sourire même si j'en ai pas envie. Je finis par me levée durement mais au moins je suis debout. Je me dirige vers mon autel et prie pendant plusieurs minutes le seigneur comme tout les matins. Il m'a tellement aidé et il continue, je l'aime tellement.
Une fois que ma prière est finit je me dirige dans ma salle de bain et plonge dans l'eau chaude de mon bain puis pose ma tête sur le rebord avant de fermer les yeux et de réfléchir sur le fond de musique que Diana a mit. D'habitude je me fixe dans le miroir pendant des minutes entières avant d'entrer dans l'eau mais ce matin j'ai pas le temps et Diana le sait alors je l'en remercie de m'interdît le miroir pour aujourd'hui et j'espère les prochains jours.

Je descend dans la cuisine vêtue de mon uniforme. Cette année encore j'ai du le changer j'ai encore perdu du poids, je nageais carrément dans l'ancien. Je m'assieds sur le siège à coter de celui de ma mère et elle me dit :

- Tu es superbe dans cet uniforme, ma chérie.

- Merci maman. C'est assez rare que tu me fasses des compliments.

- Non je t'en fait tout le temps juste tu n'entends pas. Elle répond en me souriant. Je lui rend son sourire et elle continue.

- J'ai une annonce à te faire.

Elle me fait peur en général ce n'est jamais de bonnes annonces.

- Je t'écoute. Je dis en prenant une gorgée de mon smoothie à la fraise.

- Comme chaque année tu sais qu'on fait le bal pour fêter la rentrée scolaire.

- Oui et ?

- Et cette année tu dois être présente, obligatoirement. Elle dit durement, j'aime pas ça et elle le sait parfaitement. J'ai toujours eu le droit de rester dans ma chambre ces soirs là.

- Non sérieux ? Tu sais que c'est pas mon truc. Je veux pas y allé, s'il te plaît. Puis en plus Ariane y va déjà c'est suffisant.

- C'est très bien qu'il y est ta sœur mais les gens pensent que j'ai qu'une fille et non deux. Et en plus ya une autre raison. Elle refait apparaître son sourire sur la fin de sa phrase. Et là, là je m'attends au pire.

- Laquelle ? Je demande en me méfiant, pour faire passer l'obligation qu'elle m'a dite. Je finis mon smoothie. Mais je n'ai pas encore avalé quelle me sort :

- Il y aura les Flannigan.

Et je recrache tout en m'étouffant.

- Oh putain pardon Maria. Je m'excuse alors que j'ai tout craché sur la cuisinière. Je suis sincèrement désolée. Je me lève et l'aide à se débarbouillée le visage.

End has twoOù les histoires vivent. Découvrez maintenant