┈┈┈┈┈┈┈┈┈┈┈┈┈┈┈┈┈┈┈┈┈┈┈┈┈┈┈┈┈光の節約┈┈┈┈┈┈┈┈┈┈┈┈┈┈┈┈┈┈┈┈┈┈┈┈┈┈┈┈┈┈
Les cerisiers à peines en fleures, le ciel qui se découvre peu à peu, les oiseaux qui commencent à chanter, l'herbe flottante, humide de la rosée du matin, les animaux somnolant dans les vielles bâtisses abandonnées, voilà le tableau d'un Japon qui se repose après une terrible tempête. Le printemps venait d'arriver, et adoucissait l'hémisphère nord de la Terre après les temps sombres qu'elle avait traversé. Le soleil se levait à peine, et sa lumière rose éclairait délicatement le lac Towada, dans la préfecture d'Aomori. La nature avait reprit ses droits sur les bâtiments dévastés, et des lierres enroulait les voitures coincé sur le bas-côté de la route entourant le lac. Des éperviers se baladaient autour des ruines des maisons, et échappaient aux renards dont l'ouïe affuté leur permettaient de chasser de bon matin, malgré la timide luminosité.Au milieu de cette écosystème tranquille, sous la chaleur délicate du soleil levant, des bruits de pas résonnaient sur le goudron de la vielle route sinueuse qui enroulait le lac. Deux bipèdes de sexe féminin, se promenait sans crainte ni appréhensions. Elles semblaient cependant sur leur garde, à l'affut du moindre bruit, et pour cela elle n'avait pas besoin de tendre trop l'oreille. Ces deux jeunes femmes discutaient doucement, pour ne pas brusquer la nature qui émergeait peu à peu. Un air sérieux se dessinait sur leur visage, leur sourcils noirs se penchaient sur leurs yeux en amande. L'une avait la peau bronzé, un petit nez en trompette, et les cheveux court attachés en tresses qui tombaient sur ses étroites épaules. L'autre, avait un teint de peau plutôt pâle, deux beaux yeux gris, des cheveux long couleur ébène, qui se balançaient joyeusement dans son dos. Leur démarche assuré était le reflet de la mission qui leur avait été attribué en ce vendredi matin, faire le tour du lac pour assurer la protection du campement. C'était une activité habituelle pour elles, et se réveiller de bonne heure n'était jamais un problème. Cependant, malgré l'ambiance décontracté que prenait leur petite marche matinale, elles savaient que le danger était partout.
En effet, depuis 2065, la Terre fut atteinte d'une forme de corruption inconnu à l'espèce humaine, et qui est apparu à cause de la fonte des glaces. Cette énergie appelée l'Ozdone a décimer un peu plus des trois quarts de la populations humaine, car elle est le premier et le pire prédateur de l'Homme. Elle donne vie aux objets inanimés, en les faisant fusionner avec des corps vivants, elle leur confie une âme qui se matérialise sous forme d'onde sonore nommée "fréquence". Elle peut également corrompre le vivant, par différentes méthode, mais cela touche la plus part du temps les animaux carnivores qui manges d'autres animaux porteur de la corruption. L'Ozdone ne peut pas se développer chez l'être humain, cependant, elle cherche à les tuer pour se nourrir de leur fréquence. Cette "fréquence" est très importante sur Terre, elle est les vibrations qu'émettent chaque être vivant par les battement de son cœur, sa respiration, le grincement de ses articulations, la contraction de ses muscles, le doux son paisible de sa mort, et la musique qu'émet son âme. Comme toujours, l'humain s'adapte aux nouvelles menace auxquels il est confronté, et ainsi est né la génération Omega, qui apparait aux alentours de 2070. Elle est capable d'entendre les fréquence grâce à son ouïe très sensible, et est capable de résonner avec les vibrations de la corruption et développer des capacités autrefois considérées surnaturelles.
Ces deux jeunes femmes sont alors ce que l'on appelle des résonnatrices, qui défendent actuellement le petit camp de survivant du Lac Towada. Elles commençaient déjà à trainer du pied alors qu'elle n'avait pas encore fait la moitié du chemin. En effet, le lac est de grande envergure, et cela allait leur prendre la matinée toute entière. La peur de se faire ronger par l'ennuie apparu soudain, plus que celle de se faire dévorer par l'Ozdone.
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Saving Light
Science Fiction"Qu'est-ce que la liberté pour moi ?" C'est la question que je me suis posé ce matin en me levant... Et Dieu sait que je ne me pose jamais de question au petit réveil. Mais dès que je me suis redressé, j'ai eu l'étrange sentiment d'être en cage. Peu...