Chapitre 19 - Danaé

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Enfin ! Avec mon père on vient enfin de tout déballer. Plus de carton, plus de bazar. On s'écroule tout les deux fatiguer sur le canapé du salon, sa bière à la main, ma canette de coca dans la mienne.
- Alors le lycée ça se passe comment ?
- Pourquoi cette question si soudainement ?
Il passe son bras par dessus mon épaule et me serre fort contre son torse.
- Et alors tu l'aime bien ce garçon ?
- Quelle garçon ? Je demande.
- Le fils de David et Chloé.
- Ah Boby ! Ce n'est qu'un ami papa.
- T'en est sûr ? Parce que vous sembliez proche l'autre jour sur ce canapé. Jamais je ne t'avais vu dans les bras d'un autre homme autre que moi. Ça ma fait bizarre tu sais.
Je lâché un petite rire avant de lui faire un bisous sur la joue.
- Papa dans quelques moi j'irais à la fac, je ne suis plus une petite fille.
- Ah enfin ! T'as déjà choisie laquelle ?
- Ouais mais c'est une surprise.

Les vacances de Noël sont arrivés plus vite que je l'avait prévu. Et je n'ai toujours pas fait mes achats, cadeaux et tout ce qui va avec. Mon père, Phill, Elise et Will sont partie chez nos grand parents pendant deux jours et étant donner que j'ai ma période du mois, j'ai préféré décliner l'invitation. Surtout si de ce que j'ai bien compris c'est pour assister au règlement de compte entre mon père et ses parents. Je ne sais vraiment pas ce qui à pris à William de suivre ses parents dans ce merdier. Il aurait dû faire comme Sandre et rester.

D'ailleur le compromis pour que Sandre reste à Winsted ses deux jours, c'est qu'elle ne doit pas me quitter d'une semelle, moi de même. Enfin voilà quoi, on doit rester ensemble elle et moi et se faire discrète parce que si les service sociaux apprenait que Sandre n'est pas aller avec eux chez les parent de Philip, ils auront des petits problèmes. J'ai pas très bien compris toute leurs histoire mais il s'est passé quelque chose il n'y a pas longtemps et après j'ai arrêté d'écouter mon père. Donc je ne suis pas au courant de ce que traverse ou de ce que Sandre à traversait.

Pour s'occuper et surtout pour faire nos achats de fin d'année nous sommes partis elle et moi au centre ville pour trouver des petits trucs pour tout le monde. Pour ne pas mettre trois ans à tout chercher on décide d'entrer dans le plus grand centre commerciale de la ville. J'aime bien sortir avec Sandre, elle ne s'attarde pas sur tout et n'importe quoi, les habits pas besoin, elle s'en fous aussi. Et moi qui aime faire les choses vite, ça me plait de faire ça avec elle. Qui l'aurait cru. Moi, la fille qui ne voulait absolument rien à avoir à faire avec eux.

Lorsqu'on eu tout acheter pour tout le monde. On décide de ce poser dans un fast food toujours à l'intérieur du centre commerciale et de manger un morceau.
- Qu'est ce qu'il à celui là ! Chuchote Sandre visiblement irrité.
- Qui ça ?
- Le guignols derrière avec sa bande d'homme des cavernes qui ne cesse de nous regarder.
- Des vieux pervers ? Je demande.
- Nan, ils doivent avoir nos âges. Si tu verrais la manière dont ils nous regarde ! Encore des mecs qui ne pense qu'avec leurs bite.
Je rigole à sa réplique, finit mon hot dog et attaque ma boisson, puis je lui lance :
- Tu parle toujours comme ça ?
- j'essaye d'être moins cru dans mes propos mais dans ce genre de situation les mots sortent tout seule, répond elle un petit sourire au lèvre et en haussant les épaules. Elle s'arrête dans son élan.
- Ça va ? Je demande.
- Y'en a un qui arrive !
Je tourne la tête pour voir le visage de l'homme qui vient à nous et d'un coup ma boisson atterri par terres et mon corp est dresser tel un bâton.
- Dana ? Dit il. C'est bien toi ?
- Sandre on s'en va ! Je m'exclame déjà loin de la table. Je l'entend m'appeler et me suivre, alors j'accélère le pas, mais il me rattrape par le bras.
- Dana ...
- Ne m'appelle pas comme ça ! Je hurle, faisant sursauter quelque passant à l'entrée du centre commercial.
- On dit que maintenant tu vas dans le lycée Dilon.
- Braden la ferme ! Je hurle encore. Plus jamais tu t'approche de moi, compris !
- Dana je suis tellement désolé pour t'avoir abandonner comme un lâche. Je pense toujours à toi comme un dingue, dit il presque la voix tremblante.
- Va te faire foutre, dis je en lui décrochant une belle gifle bien mériter.
- Dana...
- Dégage, tu comprends pas ou quoi ? Demande Sandre positionner entre nous deux.
Lui et moi nous fixons pendant de longue seconde puis il regarde Sandre et se retourne pour partir. Mais avant qu'il ne fassent un pas de plus je lui dit avec le plus de haine possible dans le timbre decma voix :
- Et ne m'appelles plus jamais comme ça. Espèce de sale merde.
Il serre les poings, ne se retourne pas et se remet à marcher. J'ai mal au coeur et j'ai l'impression de ressentir une douleur au niveau de ma cicatrice.

Loves me as I hate you (crossover of Sinder) : Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant