On toque à ma porte.
Je n'ai invité personne pourtant, et on est dimanche, alors le facteur ne risque pas de passer.je me dirige vers celle-ci et ouvre.
Personne.
Même pas de lettre comme dans les films. Je suis déçu.
Sûrement un enfant avec ses amis.Je décide d'aller me préparer et d'aller marcher pour me changer les idées.
Une fois arriver à destination, je me dirige vers un banc, un banc ou j'ai l'habitude d'y aller quand je veux sortir comme aujourd'hui.
Je sors mes écouteurs de ma poche et les mets.Après quize bonnes minutes à écouter de la musique, je commence à avoir froid.
Comme tout être humains en fait.
Je décide alors de marcher vers une supérette.
Enfin quelque chose qui y ressemble en tout cas.
En y entrant une impression dont je ne connais pas le nom me parcour de la tête aux pieds.
Je me dirige vers le rayon des chips et regarde ce qu'il y a.-Merci d'être venu, je ne sais jamais quelle taille de granité choisir.
Je sursaute et me tourne vers cette voie familière, puis éclate d'un grand rire.
Elle a vraiment repris cette réplique ?
Alors au bord des larmes je réplique.-Je les achètes toujour par vingt-cinq litres.
Heaven rigole et se son me réchauffe le coeur d'une façon inexpliquable.
-Quesque tu fais ici Heaven? Tu habites à l'autre bout de la ville.
Elle perd vite son sourire puis se tourne avant de répondre.
-Je voulais prendre l'air, c'est tout.
-On t'as déja dit que tu ne savais pas mentir ?
-Trop de fois.
J'esquisse un sourire puis reprend cours à la conversations.
Elle est mal à l'aise, et je le vous très bien.-Je voulais m'excuser pour l'autre soir. Je ne sais pas ce qu'il m'a pris. Je voulais ton attention, je suppose ?
Son regard me fixe d'une manière à en perdre la tête.
Non, Hell, reprend toi
c'est pas le moment.Une odeur particulière me vint au nez.
Franchement, ils pourraient faire un effort sur ça. Ça sent vraiment mauvais.
Enfin, c'est plutôt étouffant.
Je regarde autour de moi et remarque qu'il n'y a personne à part Heaven et moi.Je me tourne vers elle et m'aperçois quelle a senti la même chose que moi.
-On devrait sortir d'ici. Elle déclare en se dirigeant vers la porte de sortie.
Un sentiment étrange me parvint et je regarde de nouveau autour de moi.
Rien.Bon sang. Mais que ce passe t -il ?
Plus nous nous rapprochons de la porte, plus un mauvais préssentiment grandit en moi.-Hell, dépêche toi.
-J'ai un mauvais préssentiment Heaven.
-Un mauvais préssentiment ? Demande t-elle suspicieuse.
Ho non.
Mon coeur commence à cogner fort contre ma cage thoracique.
-Heaven. Allonge toi.
-Hein, quoi ?
Pose pas de question et fais le. Tout de suite.
-Mais Hell, dis moi-
Protège la.
Trop tard.Me souffle ma conscience.
Avant que je puisse faire quoi que se soit je me sens projeté à terre.
Ma tête tape contre le carrelage blanc, me faisant grimacer.Mes oreilles sifflent et me yeux sont embrouillés.
Je n'arrive plus à voir clairement.
Je les ouvrent difficilement et regarde autour de moi.
Putains. Tout est flou.La seule chose que j'arrive à distinguer, sont des flammes. De très grandes flammes.
C'est alors que je me rends compte que je respire difficilement.Heaven.
Heaven.
Heaven.Ou est t-elle ?
Je rampe jusqu'à ce que j'aperçoive la porte de sortie.Oui.
J'essaie de me lever mais mes muscles me font souffrirent le martyr.
J'y parviens malgré tout et regarde autour de moi.
Heaven.Je regarde la porte et regarde la boutique qui continue de brûler.
Je dois la retrouver.Tout à coup, j'entends tousser.
Je le dirige vers se son et cherche jusqu'à la trouver. Là. Qui ne peut pas sortir.-He..Hell.
-Je suis là, j'..je ne te laisse pas.
Malgré mes forces épuisées, je déplace la plus part des choses qui puissent l'empêcher de sortir.
Elle essaie de se lever mais sa jambe droite ne coopère pas.
Elle me regarde alors avec un regard que je ne connais que trop bien.Non.
Si tu crois que je vais faire ça.
C'est bon. Me souffle t-elle silencieusement.
Un énorme fracas arrive alors jusqu'à moi.
Il faut que je me dépêche.
Je la prends alors par les jambes. Même si je souffre plus que je n'ai jamais souffert, je la porte. Parce qu'elle ne mourra pas comme ça. Pas aujourd'hui.J'y suis presque.
Encore un tout petit peu.
Et j'arrive à la porte.
Je d'épose Heaven à terre doucement et essaie de pousser la porte de toute mes forces.
Je la sens m'aider, et avec quelques secondes plus, on arrive à respirer normalement denouveau.
Je la tire vers moi et le plus loin possible de cette enfer.-Qu'est ce qu'ils'est passé ?
Je n'ai pas le temps de répondre qu'une alarme puissante travers la ville, même le pays tout entier.
-A PARTIR DE CE SOIR, 22 HEURES, TOUS LES CRIMES SON AUTORISÉS
SANS PEINE D'EMPRISONNEMENT
PENDANT UN TEMPS INDÉFINI.Je regarde Heaven l'air perdu.
Une balle se fait entendre au loin.
Je prends alors la main de Heaven et commence à courir.-Hell, je ne peux pas courir. Dit-elle d'un petite voie
Je me tourne vers elle. Je ne peux plus la porter. Je n'ai plus de forces.
Pourtant mes bras s'activent.
Et je commences à courir.