DESTROY

Profitez bien de votre lecture les amis je ferai un mot à la fin. C'est un os qui fait maximum 5000 mots (ou plus T.T).

La critique est toujours bien reçu tant qu'elle est constructive et ne détériore pas le travail d'autrui dans la section commentaire.

Bonne lecture alors !!

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Parfois je ne cessais de penser que le temps serait une demeure composait de chambres qui n'en termineraient jamais. Dans celles-ci y siégeraient les différentes compositions de son nom. Mais nous allons nous intéresser aux chambres qui comportent les saisons qui englobent notre monde en ce moment.

Car ces derniers temps c'était la porte qui menait à la chambre de l'automne qui s'était ouverte. Nous faisons part de ses couleurs chaleureuses mais aussi de son état aux apparences de calmants.
J'avais l'impression que le temps prenait une pause dans cette chambre. Même si il avancer toujours à un rythme effroyable.

J'étais assise sur le bord d'une falaise proche de la demeure de mes grands-parents alors que toutes les pensées du monde faisaient cogiter mon âme. Habillée d'une simple chemise blanche et d'un pantalon en toile beige, je pouvais presque immiscée le bas de mon corps dans la roche sur laquelle j'étais assise car elle portait les mêmes couleurs que mon vêtement inférieur.

Étendue en arrière à l'aide de mes bras et ma jambe droite sur la gauche qui pendait dans le vide. Je laissais le vent m'embrasser le visage et faire virevoltait mes mèches brunes en fermant les yeux. Cela faisait longtemps que je n'avais pas sentie un état de paix intérieur et extérieur comme celui-ci.

La vaste forêt sous mes pieds à plusieurs mètres plus bas surplombée d'une brume qui avait l'air de ne pas vouloir s'éparpiller dans l'air avant longtemps, m'offrait un spectacle que si j'avais le pouvoir, graverais dans ma rétine.

« - Olivia ! » Hurla une voix lointaine à ma droite.

Je pivotais ma tête vers la personne qui avait brisée ce moment de sérénité.

Au loin sur l'immense jardin du château de mes grands-parents, je voyais un homme habillé chaudement me faire un grand geste de la main. Lorsque mon cerveau quitta ses cogitations pour mettre un nom sur cet homme, mes lèvres s'élargissent comme jamais. Je souris à la personne qui avait l'air d'être à des milliers de kilomètres de ma personne et lui tendit la main lui faisant signe de venir ici. Sur le haut de cette falaise.

Octave s'approcha de moi à grand pas et lorsqu'il arriva enfin à ma hauteur il pris ma main et s'assit à côté de moi. Ses pieds rejoignant les miens, au dessus du vide.

« - Je savais que je te retrouverais ici Oli. » Il me dit en me souriant et en lâchant jamais mon regard.

- Je suis pas étonnée Octave. » Je terminais en le regardant avec un regard doux.

Octave était à la tête d'une entreprise familial de marque de chaussures depuis maintenant deux ans. Le mois dernier il était parti en Irlande pour voir un collaborateur et il était revenu aujourd'hui à mes côtés. Comme tout âme sœur, il était revenu pour que notre lien soit toujours plus fort, n'est-ce pas ?

« - Tu m'as tellement manqué mon coeur. » Octave s'approcha de moi pour sentir mon cou avant de délicatement l'embrasser.