Chapitre 7: le patron

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Je poste se chapitre un peu plutôt car j'ai eu plein d'idées.
Et même si je ne fais pas cette histoire pour les vues ou les votes ça fait vraiment plaisir de voir des gens suivre cette histoire, je ne vous remercierai jamais assez.
N'hésitez pas à donnez votre avis
J'espère que ce chapitre vous plaira😘

Point de vue James :

Je n'ai pas réussi à dormir, quelque chose cloche, pourquoi n'a-t-elle pas essayé de rentrer à l'intérieur, elle n'a pas protesté, c'est bizarre.

Je me rends à la cuisine, je regarde vers le balcon, les tentures sont fermées. Je me prépare un café, la tasse à la main, je les ouvrent. Ce que je vois me glace le sang, je lâche ma tasse qui se brise sur le sol, je m'empresse d'ouvrir la baie vitrée.

Lia est assise à même le sol les genoux remonté sur sa poitrine, je vois du sang, beaucoup de sang, elle est blessée. Elle a des hématomes partout et des blessures ouvertes.

Je m'approche, elle relève légèrement sa tête, je croise sont regard cerné. Que lui est-il arrivé.

Je passe une de mes mains dans son dos et l'autre en dessous de ses genoux, elle grelotte de froid dans mes bras, je sens qu'elle n'a plus de force, comment j'ai pu ne pas le remarquer et en plus je l'ai laissé dormir dehors.

-Que s'est-il passé ? Murmuré-je.

-Je revenais de l'université à pied, et sens arme, des personnes du trafic d'humains, m'ont suivi, ils étaient sept, je n'aurai rien pu faire, ils m'ont amené dans une salle abandonnée devant les familles des personnes que l'on a liquidé et il leurs a donné carte blanche pour faire ce qu'il voulait de moi sauf me tué.

C'est donc de ma faute, si je l'avais attendu ou lui avait laissé son arme, elle ne serait pas dans cette état-là. Je l'a conduit jusqu'à la douche, je l'aide à se déshabiller, elle reste en sous-vêtement.

-Tu peux y aller, ça va.

-Tu es sur ? L'interrogé-je.

-Oui.

Au moment où je la lâche, elle manque de s'effondrer, je la retiens de justesse.

-Je reste, tu vas t'écroulé si je ne te soutiens pas, tu n'as qu'à rester en sous-vêtement.

Elle ne répond alors je la soutien jusque-là douche, j'allume l'eau sur elle, elle recule car l'eau lui fait mal sur les blessures ouvertes.

Je suis trempé mais bon, j'attrape une fleur de douche sur laquelle je mets du gel douche.

-Donne-moi ton bras.

Elle m'obéit sans aucune réticence, je passe délicatement la fleur sur son bras, son regard est perdu. Elle a l'air fatigué. Je continue de l'aider, je remarque ses nombreuses blessures apparente, je me sens coupable.

-Arrête de te sentir coupable et d'avoir pitié de moi. Déclare-t-elle. Ce n'était pas de ta faute, je t'ai tiré dessus, c'est normal que tu ne veuille plus me conduire et c'est aussi normal que tu ais repris une arme à toi, et sache que je me relève toujours de toutes mes blessures, une de plus ou une de moins, ça ne changera rien.

Je la regarde sans trop comprendre.

Elle se retourne et sous les quelques blessures qu'elle a reçues au niveau du bas son dos.

J'entrevois de nombreuse cicatrises que je n'aurai pas pu voire avant, son dos nus du jour de la
rentré ne descendais pas si bas, je reste sans voix, qui a pus lui faire subir ça.

-Comme tu peux le constater, je me suis relevé de bien pire alors arrête.

Je ne sais pas quoi répondre, je ne peux pas lui promettre que ça n'arrivera pas, mais je vais tout faire pour.

La pire rencontre Où les histoires vivent. Découvrez maintenant