Prologue partie 2 : Un monde bâtis sur des ruines(2).

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Une légère lumière verte et fluorescente s'échappait faiblement du petit trou qu'avait laissé le zombie après s'être relevé, confirmant les soupçons de Salvatoris. Cet endroit n'était pas qu'un simple tumulus, ou quelconque fosse commune érigé en ces plaines. C'était une ruine ayant volontairement été dissimulé ici pour n'éveiller aucun soupçon, ayant visiblement scellé la mort lors d'un effondrement de l'homme qui avait essayé de dissimuler précipitamment l'entrer souterraine avec de la terre et divers grava.

Salvatoris s'agenouilla au sol, essayant de relever le cadavre avec une grande concentration. Mais, quand celui-ci se releva sans un mot, Salvatoris tapa du pied le sol avant de s'immobiliser, se rappelant qu'il était poursuivi. Ignorant tout principe de sécurité, il se mit à creuser avec la pelle que tenait son nouveau mort-vivant l'endroit où se trouvait la brèche à travers la terre qu'avait involontairement créé son zombie. Il l'élargit assez pour pouvoir y ramper, accompagné par ses zombies, et reboucha ensuite le troue avec quelques gravats et moreaux de terre. Il faisait cela en espérant ne pas se faire suivre par les routny à ses tousses, comptant sur le faite que cet endroit serait suffisant pour se cacher quelques heures.

Lorsqu'il tourna la tête en direction de la seule lumière illuminant ce petit espace renfermant un air vicier, une odeur de putréfaction et de renfermer similaire à celle des tombeaux l'agressa. Il mit immédiatement son bras devant son nez, observant les quelques cadavres portant les mêmes habilles que le tout premier mort coincé entre les gravats et la terre. Ils étaient faiblement illuminés et disposer devant une imposante porte d'un béton bleuâtre, mélangé à un acier noirâtre similaire à celui de la pelle. Pourtant, en dépit de son âge, celle-ci ne portait aucune trace de rouille malgré les bosses ou fissure ici et là qui laissait passer l'humidité, tout en témoignant des multiples tentatives d'ouverture infructueuse de cette porte. Au-dessus de cette imposante structure se trouvait un panneau vert fluo maladroitement fixé, indiquant une sortie de secours, bien qu'il tenait désormais à peine, et semblait pouvoir tombé à chaque instant.

Salvatoris essaya méthodiquement de relever quatre des neuf cadavres gisant ici. Cependant, une fois ceux-ci relever il secoua la tête, impuissant alors qu'une pensé envahissait son esprit.

[ Encore des échecs...j'arrive vraiment pas à leur faire retrouver leurs souvenirs... putain ! Juste une putain mémoire musculaire inutile...je devrais laisser les autres à des nécromanciens plus confirmer ou des héros, eux pourrons les réanimer et savoir ce qu'il c'était passé dans ces ruines. Nous pourrions peut-être même en apprendre plus sur l'ancienne civilisation comme ça ! ]

Après avoir soupiré en essayant de penser positivement, Salvatoris se dirigea avec sa troupe de morts-vivants en direction de la porte. Il ordonna rapidement aux morts portant des blouses ou veste blanche de l'ouvrir, ce qu'ils firent facilement, comme si ils se souvenaient parfaitement de la procédure à faire. L'un deux finit même par montrer un badge dont il ne restait presque rien devant une machine détruite non loin d'une plaque ou des inscriptions indéchiffrable, et depuis bien longtemps effacer, étaient écrite. Cela ne provoqua aucun changement, mais ce n'est pourtant qu'après qu'il poussa manuellement la porte dont la partie électronique du verrou semblait briser ou détruite par le temps et le manque d'entretiens, en plus des diverses marques de violence ici et là.

Cependant, le squelette qui venait de passer son badge se retourna devant les êtres ne portant pas de vêtement blanc. Il parla difficilement dans une langue inconnue à Salvatoris, bien qu'il puisse comprendre les pensées ayant été diffuser au travers de sa magie qu'il partageait avec le cadavre, lui permettant une traduction approximative.

« Bienvenue...centre... luxe...conservatio...de cryogénie... »

En voyant cela, Salvatoris sursauta, étant submerger par un sentiment mêlant la peur, l'inquiétude, et la joie de voir l'une de ses créations parler, le laissant hurlé d'excitation.

The Fallen hero : un nouveau monde bâti sur des cendres.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant