Souffrir Le Jour, Sourire Le Soir

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Didi si tu veux me parler au collège de la chronique dis " le connard " mais dis surtout pas le vrai prénom JAMAIS le vrai prénom merci mv

Père : on a découvert ton jeu, maintenant je vais te tuer de mes propres mains.

À cette entente mon sang se glace. Comme si se qu'il a fait hier ne suffisait pas.

Il s'approche dangereusement de moi avec le même couteau qu'hier..

il essaie donne un coup de couteau au ventre mais je fais une esquive de la loutre.

Je me décale et le couteau touche mon épaule. Je pousse un cri tellement fort que obligé tout le quartier a entendu.

Je regarde mon épaule et je vois du sang couler abondamment.

Merde c'était un T shirt que j'aimais trop.

La douleur est tellement forte que je suis paralysée.

Je regarde cet homme devant moi qui me sert de père avec dégoût mais ne dis rien.
On voit toute ma haine dans un simple regard.

Il s'approche et enfonce me donne des gros coups de poings dans le ventre de qui me fait cracher beaucoup de sang.

J'essayais de reprendre la respiration mais il me mets un coup de poing dans l'oeil qui commence aussi à saigner.

Je continuais à le regarder neutre, ce qui la énervé.

J'avais mal, très mal.

Il s'approche dangereusement de moi avec le couteau encore dans la main.

Moi ; tes tellement faible que tu as besoins de quelque chose pour te battre.

J'allais crever pour avoir dit cette phrase mais sah rien a faire j'avais plus rien a perdre.

Sa y est il allait me battre a mort.

J'essayais difficilement de reprendre mon souffle quand il me prend comme si je pensais le poid d'une éponge, il ouvre la porte et me jette comme si j'étais un déchet par terre devant la maison.

Il me donne un gros coup de pieds dans les côtes.

Lui ; ne reviens plus jamais chez nous, tu nous as trahi, tu as trahi ton propre sang !

Moi ; j'ai honte d'avoir le même sang que toi.

J'étais culottée sah

Il me donne un coup de pied qu'il avait mit toute sa haine dans ma jambe.

Je sentais plus ma jambe, je sentais plus mon corp, j'avais envie de crier.. mais je m'abstiens.

Il m'attrape par le coup et me sers comme si j'étais invincible jpp

J'arrivais plus a respirer.. je n'avais plus d'air alors que j'étais déjà dans un sal état. Comme si ce qu'il m'avait fait hier ne m'avait pas suffi.

Il ouvre la porte de la maison en me tenant encore par mon cou et me jette parterre comme de la merde.

Mon atterrissage ne fut pas doux.

Lui ; remercie moi que je ne t'ai pas tuer pourriture, erreur de nature.

Je luttais contre moi pour ne pas m'évanouir je me sentais faible.

Une larme commence à couler, j'essaie de l'effacer mais de multitudes de larme vienne couler sur mon visage.

Je pleurais tah une fontaine.

Ma respiration est devenu rapide et irrégulière, sa serait mentir vous dire que je pleurais a cause de la douleur intérieure car j'avais horriblement mal a chaques partie de mon corp.