chapitre 7

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Assit dans mon salon je regarde Amina joué avec la télécommande.

Ça fait plus d'une semaine, que j'essaie de joindre son père sans succès.

Plus d'une semaine que je me suis transformer en une super maman.

Et plus d'une semaine que j'ai quitté la maison familiale sans me retourne ou rentré en contact avec eux.

Toc toc..

J'ouvre la porte et tombe sur la tigresse.

_ je t'en prie rentre, je me décale mais pourtant cette folle me pousse jusqu'à ce que je me suis retrouvé par terre.

Je lève les yeux pour lui lancé un regard noir.

: Tchuip bien fait pour toi, avec tous ces graisse au fesse tu n'a pas de poids, elle continue de m'insulter en wolof.

_ matin bonheur, tu viens m'agresser chez moi, t'es au courant que je peux te faire enfermé pour cela ?, je me lève de par terre.

: Oui fait donc ça, ça fait longtemps que j'ai pas d'action dans ma vie, je veux un scandale mondiale moi, dit-elle en tirant la bouche.

On peut être folle comme ça ?

Amina : dadaaaa!, dit-elle en voyant Fatou.

Fatou : tu peux lui dire de ne pas m'appeler dada ?, elle l'a prend dans ses bras, c'est tata oui tata,

Amina : dada !

Fatou : j'abandonne, fait comme tu veux, elle l'a dépose sur le tapis.

_ qu'es qui t'amène ?, je me pose par terre et Amina s'empresse de monté sur mon ventre.

Fatou : je reviens, elle quitte mon champ de vision.

_ta dada est complètement folle hein ?!

Amina : mah sin, elle rentre son bras sous mon t-shirt.

_ hé, arrête moi ça, je savais qu'on ne devait pas t'apprendre à parlé bambara.

Fatou : carrément, elle avait la bouche pleine.

_mais.. mais c'est mon gâteau ça ?!.

Fatou : ah désolé ma belle je ne savais pas que c'était pour toi, dit-elle faussement.

La garce.

Elle prend un bout et l'a donne à la petite.

_ elle ne mange pas ça.

Fatou : elle mange ça elle ne mange pas ça, je m'en contré balance, temps qu'elle réclame je l'a lui donne tchuip,vos habitude de blanc là, elle continue de nourrit Amina, et cette gourmande avale tout.

_ où est junior ?,

Fatou : il est avec ton cousin.

_ quel cousin.

Fatou : Ousmane, il m'a dit que t'a annulé votre sortie sans même l'informer,

_ j'ai complétement oublié,

Je ferme les yeux pendant un moment, je suis dépassée par les évènements de ces dernières temps.

Fatou : Aïda !, dit-elle depuis ma chambre.

Je l'a retrouve entre mes affaires.

Fatou : je peux prendre ça ?

_ si je te dis non, tu vas l'a déposer à sa place, dis-je avec un peu d'espoir.

Fatou : bien-sûr que non, je demande juste pour être polie, elle fait son chopping dans mes affaires.

_ parle moi de ta vie sentimentale, je m'allonge sur mon lit.

Fatou : diarrabi té ne là sisan, les hommes tous des connards.

_ mais il doit y avoir un qui te fait battre le coeur non?.

Elle : oui mais il existe pas encore.

_ tu sais, parfois je me dit que je ne suis pas une bonne amie.

Fatou : mais non, c'est par ce que tu es une sœur pour moi Aïda.

_ j-je te connais comme une amie devrait, et c'est moi qui à toujours des problème, alors que ta famille t'a abandonné étant enceinte, tu es loin des sien mais.. mais.

Fatou : tu sais ta simple présence suffit à m'apaiser, dit-elle en me prenant dans ses bras.

_ alors tu peux me dire pourquoi tu restes debout jusqu'à 4heure du matin, l'a questionnais-je.

Fatou : tu sais, parfois la nuit porte conseil et d'autres fois elle nous montre nos erreurs, répond-elle avec un regard triste.

_ et si tu me partageait celà.

Fatou : je.. je me sens pas prête.. une.. une autre fois peut être, dit-elle déstabiliser, je.. je ne suis pas fière de mes choix.

_ quand tu seras prête.. tu me le diras, tu sais que je ne juge pas.

Fatou : je sais, le regard absent.

Je me sens vraiment inutile là.

_ et parle-moi de Kader, je change de sujet.

Fatou : hum, curieuse que tu es, je suis sûre que si tu n'avais pas posé la question i toun saa! (t'allais mourir).

_ hé je m'inquiète pour toi koyi ?, dit je avec un sourit espiègle.

Fatou : je connais ce sourit et sache que c'est pas ce que tu crois, dit-elle sérieux.

_ pourtant j'avais cru qu'il était fou amoureux de toi et qu'il considère déjà junior comme son fils,

Fatou : en fait il..euh.. il aime bien junior et..e-et c'est tout c'est ça qui nous lie,

_ho c'est vrai ce mensonge ?,

On se regarde un instant et éclate de rit.

_ sérieusement tu devrais lui donner sa chance, je essayait d'être convainquante

Fatou : hum

_ même si tu as peur d'être déçu, faut tenté, tu sais ce qu'on dit :" qui ne tente rien n'a rien et qui n'a rien..

Fatou : n'es rien" , finit-elle, je connais la chanson.

_ tes pensées négative là,

Fatou : sinon j'ai faim, le petit bout de gâteaux n'a servi à rien, allons au resto, joignant gestes à la parole.

Je regarde Amina qui est dormie par terre, je l'a laisse ou je l'a prend avec moi.

De tout façon elle dort donc je peux l'a laissé là, là toute seule et si elle se réveille, y'a des choses dangereux comme la gaz,les pre-

Fatou : Aïda ramène ton gros derrière ici,

_ j'arrive !!.

Au final je prends Amina et la pose sur ma poitrine.

Fatou : j'allais partir te laisser ici imbéciles, dit-elle aigris.

Quand elle est dans cette état, le mieux s'est de la laisser se défouler sur toi.

Fatou : espèces de mère célibataire tchuip,boda, elle démarre la voiture.

Ayiwa..









A suivre...

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