38: L'arrivée chez les (N/F)

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FRANCOIS BONNEFOY
Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il se prépare mentalement à une bataille épouvantable qu'il est sûr à 99,9 % de perdre, mais si c'est vraiment une perte, alors ce sera une grande perte pour laquelle il a essayé de se battre - qu'il connaît très bien. Il se battra pour toi jusqu'à sa mort certaine. [N'est-il pas une boule de soleil?]

François, toujours affolé à l'idée d'affronter tes parents, sursaute soudain lorsqu'une légère pression est exercée sur son genou. Ses yeux d'un bleu profond, qui prennent une teinte violacée sous l'effet de l'angoisse, te jettent un coup d'œil rapide tandis qu'il resserre sa prise sur le volant. "Quelque chose ne va pas, chérie?" balbutie-t-il.

Tu ris de son état, tendant la main pour lui donner un baiser rassurant sur la joue. "Tu vas t'en sortir," lui dis-tu seulement, en souriant de manière taquine à son inquiétude évidente et à sa tentative pathétique de la dissimuler. François soupire profondément et se met à conduire la voiture tout en se noyant dans ses pensées.

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Vers midi, tu arrives dans ton humble demeure en (pays d'origine) et tu souris immédiatement aux souvenirs que tu as eus avant de partir pour la France il y a quelques années. Presque instinctivement, tu entrecroises tes doigts avec François après qu'il ait récupéré tes deux bagages dans le coffre de la voiture.

"(T/P)!!!"

Tes jeunes cousins vous voient immédiatement, toi et François, et courent vers vous avec enthousiasme. Ta main lâche François et tu t'agenouilles, les bras ouverts, pour prendre l'un de tes cousins, Tim, dans tes bras. [J'aime bien Tim, je l'appelle Tim]

Un sourire amoureux se dessine inconsciemment sur le visage de François lorsqu'il te voit roucouler devant les enfants qui grouillent autour de toi, mais il voit ensuite le regard de mort que lui jettent ton père, tes cousins plus âgés, tes oncles, en fait tous les hommes de ta famille. Son cœur se serre et il commence à transpirer.

"Alors, tu es François, hein?" Ton père s'approche de lui alors que tu es parti jouer avec les enfants. "Oui, monsieur," acquiesce François en tendant la main pour une poignée de main. Ton père le regarde un moment, scrutant sa présence, avant de sourire et de le serrer dans ses bras.

"Bienvenue dans la famille, fiston."


ALLEN JONES

L'américain se mord la lèvre tout en retenant le "Holy Shit" qui lui monte à la bouche lorsque tes jeunes cousins se mettent à le tripoter comme s'il s'agissait d'un cheval. Immédiatement, il regrette de leur avoir fait faire un tour à dos, mais rien n'y fait : il doit gagner l'approbation de toute la famille.

"Je n'ai pas confiance en cet enfant."

Tu entends ton père grommeler à ton cousin Diego, alors que tu disposes les assiettes sur la table avec ta mère. "Bon sang, je ne sais pas... Il est tout à fait capable de protéger (T/P)," répond Diego en se frottant inconsciemment la mâchoire. [Vous vous souvenez de lui?]

Comme tu t'en souviens très bien, Allen a frappé Diego en plein visage lorsqu'il était jaloux, ce qui provoque un rire étouffé sur tes lèvres à ce souvenir. Ta mère hausse les sourcils devant ton geste et un petit sourire se dessine sur ses lèvres.

Les cris *hommesques* d'Allen te parviennent, ainsi que les rires en chaîne de tes cousins. Secouant la tête, tu finis de mettre les assiettes et tu décides de libérer ton petit ami de la douleur et de la torture qu'il subit. "Tu vas bien?" demandes-tu à Allen après avoir convaincu tes jeunes cousins de se détacher de lui. Allen, toujours au sol, te regarde et te donne un sourire fatigué et un pouce en l'air.

2p!Hetalia Boyfriend ScenariosOù les histoires vivent. Découvrez maintenant