Ici vous trouverez de courte histoire de qualité avec Natasha Romanoff ! Et elles auront toutes un rapport soit avec T/p (Ton prénom) qui serait la copine ou la fille ; soit avec une autre personne tel que Wanda en tant que copine.
Ps : Vous pouvez...
Scar : Alors sauve mon cœur avant qu'il ne soit trop tard. dit-elle en m'attrapant par les hanches.
Cette femme me rendra dingue un jour.
T/p : Pas plus de 15 minutes.
Scar : Marché conclu.
Et c'est ainsi que nous recommençons à nous déshabiller...
Finalement je ne part pas de chez elle 15 minutes plus tard mais plutôt 40 minutes après. Je vais dire que c'est pour la bonne cause, ça stigmate mon système pour la journée qui m'attend.
Arrivé à ma caserne, j'essaye de me faire discrète mais c'est raté.
Andy : T'es en retard.
T/p : Je sais, un contre temps.
Andy : Un contre temps qui s'appel Scarlett Johansson ?
T/p : Peut-être bien.
Son rire est coupé par notre alarme d'urgence alors nous écoutons attentivement la voix robotisé.
? : Tremblement de terre de niveau 7 ressenti au nord de la ville. Des personnes seraient bloquées sous des décombres.
Ça, sa craint.
Maya : On se rend là où les dégâts sont les plus gros. indique-t-elle en arrivant dans le hangar.
T/p : C'est où ?
Maya : Au théâtre Dolby.
T/p : Merde, Scarlett y est pour son prix. J'espère qu'elle n'a rien.
Je monte avec mon équipe dans l'EPA (échelle pivotante automatique) et les sirènes s'enclenchent, raisonnant dans toute la ville de Los Angeles.
Sur le trajet j'essaye d'appeler ma copine mais aucune réponse. Ma jambe tremble et je me met à imaginer le pire.
T/p : Roule plus vite !
Travis : Je suis déjà au maximum.
C'était les minutes les plus longues de toute ma vie. Mais une fois arrivé sur les lieux, je me rend compte que l'affaire va être plus compliqué à régler. Il y a des gens de partout, tous dans leur plus belle tenue, ça cris et ça court dans tous les sens. Un vrai carnage.
Heureusement les gendarmes sont là et nous facilitent le passage jusqu'à l'entrée principale. Descendant des camions, nous enfilons notre bombonne d'oxygène en voyant quelques flammes s'échapper de part et d'autre et on attend les directives.
Ripley : Bishop tu te charge de ton groupe pour le moment.
Maya : Bien monsieur. On fait des groupes de 3 et on essaye de déblayer le plus de passage possible.
Je part donc avec Andy et Guibson. Connaissant un peut le plan de ce théâtre, je me dirige vers la grande salle où Scarlett est sensé être. Puis je m'acharne à enlever le plus de pierre possible. Mais en même pas 10 minutes je suis épuisé, les blocs de bétons sont énormes, je ne vais jamais réussir à entrer par ici.
Ne pouvant réellement faire autre chose pour le moment, nous continuons ici et au bout de 1h30 nous arrivons quand même à libérer une dizaine de personne. Sauf qu'il n'y a pas ma petite amie dans le lot et ça commence sérieusement à m'inquiéter. Je ne lui dis pas souvent mais elle est toute ma vie et je l'aime plus que tout au monde. La perdre n'est pas envisageable car un morceau de moi partirais avec elle.
Maya : Eh ! Faites une pause.
Je m'essuie le front d'un revers de main avant de revenir près du fourgon pour m'hydrater et reprendre des forces.
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Ripley : Plus personne ne rentre dans le bâtiment ! Ça devient beaucoup trop dangereux.
T/p : Quoi ? Non, il y a encore Scarlett !
Ripley : Nous n'en savons rien, si ça se trouve elle est dans une camionnette qui se dirige vers l'hôpital.
T/p : Mais non, elle est dans le secteur F, j'en suis sûr.
Ripley : Le secteur F est impraticable. Personne ne rentre à l'intérieur, fin de la discussion. dit-il en s'éloignant.
Je jette un coup d'œil sur ma gauche et ma droite avant de fixer intensément la porte devant moi. C'est maintenant ou jamais si je veux revoir la femme de ma vie. Alors j'enfile mon masque à gaz et rentre dans le bâtiment tête baissé, sans écouter les ordres de mon supérieur. Je n'ai cette fois pour seul objectif de retrouver ma belle blonde.
La chaleur commençait à se faire ressentir dans ma combinaison, je pouvais sentir les goûtes de sueurs se former sur mon front. Mais je continuais d'avancer, passant dans des couloirs plus effondré les uns que les autres. Je voulais ressortir de cet endroit avec Scarlett, si ce n'était pas le cas, je ne ressortirai pas de cet endroit toute seule.
Une trentaine de minutes plus tard, je crû reconnaître le secteur F. Je suis enfin arrivé dans la grande salle.
T/p : Scarlett ! Scarlett !!
Je n'entend strictement rien à part le soufflement de la mort. On dirait qu'il n'y a que moi ici, mais je ne perd pas espoir, elle s'est peut-être juste endormie.
T/p : C'est les pompiers, ya-t-il quelqu'un ??!
Toujours pas de réponse. Alors que j'allais chercher ailleurs, un bruit de métal me parvient jusqu'à l'oreille. Je change alors de direction et court vers ce son sonore qui vient une nouvelle fois de résonner.
T/p : Oh mon dieu.
J'aperçois son corps à un mètre de moi. Je la reconnaîtrais entre mille, c'est elle et une poutre la gène pour bouger. Mon sang ne fait qu'un tour et je me précipite pour le lui retirer. La fatigue l'emporte et elle s'endort sous mes yeux.
La fumée et la poussière dans les airs se faisant de moins en moins sentir, je sort de la pénombre avec Scarlett dans les bras. Je marche sur de lourd pas à cause de mes bottes. Le regard levé, je remarque que toutes les unités présentent me fixe comme si j'étais une héroïne. Mais j'ai simplement sauvé la vie de la femme que j'aime, si c'était à refaire je le referais les yeux fermés.
Lorsque je l'entend tousser, je devis mon attention sur elle en m'arrêtant.
T/p : Ne me refait plus jamais ça.
Sa main se lève jusqu'à ma joue pour confirmer ce qu'elle voit.
Scar : T/p ?
T/p : En chair et en os.
Scar : Je savais que tu viendrais me chercher...
T/p : Je traversais les flammes pour toi.
Un léger sourire apparaît sur son visage salis par la poussière grisâtre de l'éboulement. Je la pose délicatement au sol et une fois sur pieds, elle m'aggripe la veste pour m'entraîner dans un ardent baiser.
Scar : Mon soldat du feu.
Le monde pouvait brûler, je continuerai de l'embrasser.
