Dans le monde de Teyvat, il existe une ville nommée Mondstadt. Tout est paisible là bas, le son des oiseaux qui chantes, le bruit des paroles des passants, les petites rues animées et le bruit de la porte du laboratoire qui s'ouvre.
"Bonjour je suis Albedo, chef des alchimistes de l'ordre de favonius. Et vous êtes..?"
Un homme se tient devant l'alchimiste.
"Oh... tu ne m'a pas reconnu ? Je suis Kaeya capitaine de la cavalerie de l'ordre de favonius."
"Oh bien sûr... mes excuses capitaine Kaeya."
Le chef des alchimistes de l'ordre de favonius semble inconfortable.
"Et bien, erm, j'étais assez occupé avec mes recherches pour ne pas te reconnaître tout de suite..."
"Pourquoi es tu si froid ? J'ai toujours pensé que nous étions des amis proches."
"J'apprécie notre "amitié "... capitaine Kaeya, mais utiliser le mot "proches" n'est pas un peu trop ? Albedo se tend légèrement, "De plus, au plus j'y pense, plus je me dis que se terme que tu as utilisé sonne comme une connotation romantique..." de la surprise est visible sur le visage d'Albedo. Kaeya le regarde avec juste un sourire charmeur sur son visage.
Soudainement Kaeya attrape le menton de l'alchimiste. Albedo sursaute face à ce geste inattendu. "Qu'est-ce ce que !? Capitaine Kaeya, tu es un peu trop proches..." le blond rougit, incapable de trouver les mots pour parler.
"Les gens ont raisons quand ils disent que tu es très beau~" La tête d'Albedo est rouge et le chevalier continue de tenir son menton. "Capitaine Kaeya, laissez moi..! Les gens... ils vont nous voir ! Je veux dire... " il regarde partout, nerveux.
"C'est tout ? Tu es nerveux car les gens risquent de nous voir ? Mais il n'y a rien en particulier au fait d'admirer la beauté de quelqu'un." Le blond est figé mais réponds fermement à Kaeya. "Non ne vas pas mal comprendre ma nervosité ! C'est juste... étrange pour deux hommes d'être aussi proches physiquement en public. Les gens... les gens vont se poser des questions tu sais ?"
"Mmh? Tu es en train de dire que les passants vont mal comprendre notre relation ?"
"O-oui, exactement. Capitaine, s'il te plaît, lâche prise. Je... je... je ne veux pas que les gens pensent que je suis impliqué dans..."
La voix d'Albedo s'éteint alors qu'il se demande ce que les gens pourraient penser s'ils le voyaient si près du capitaine Kaeya. Mais la tête du chevalier se rapproche de celle d'Albedo. Celui-ci se sent encore plus nerveux maintenant que la tête de Kaeya se rapproche encore plus. Il remarque que les lèvres du chevalier sont désormais très proches des siennes. "C-capitaine Kaeya, qu'est-ce que tu fais ?" Demande Albedo, la voix tremblante. Kaeya reste immobile
