A Nous Deux [ᵒᵐᵉᵍᵃᵛᵉʳˢᵉ]

❣️35❣️

Louis

Qu'est-ce que je fais ?

Qu'est ce que je fais.

Il peine vraiment à garder les yeux ouverts, heureusement l'ambulance arrive et le prend en charge, je vomis en remarquant le sang sur moi, avant de monter dans l'ambulance.

Je suis dans une chambre on m'a séparé de lui, des policiers m'interroge, je réponds lentement à leur question ça a l'air de les agacer.

« qu'est ce que— vous ne voyez pas que cet oméga est encore traumatisé, dégagé de là.

Les policiers sortent rapidement, l'homme qui vient de les chasser n'est autre que le député Whiteley, il se bat pour les oméga depuis des années.

— aucun professionnalisme. Bon, mon grand comment tu te sens ?

— bien...

— tu ne sais pas comment tu te sens n'est-ce-pas ?

J'hoche positivement la tête.

— ce n'est pas grave c'est le choc qui fait ça, il va bien, l'opération c'est très bien passé, tes frères arrivent, alors repose toi d'accord, tu parleras quand tu te sentiras près.

Il essaie de me tapoter l'épaule mais se ravisse, il a dû se dire que je réagirais mal, puis il se lève en me souriant.

Un autre homme entre dans la pièce au même moment, les deux hommes se regardent quelques secondes avant que le nouveau venu ne brise le silence.

— désolé j'aurais dû toquer.

-— non c'est bon, j'en avais terminé, par contre il est encore légèrement sous le choc, et vos collègues n'ont pas été tendre.

— j'en suis navré, Louis, je m'appelle Zack Paterson, et puis se ne sont pas mes collègues, ils sont sous mes ordres, des imbéciles qui n'acceptent pas le fait qu'un Omega les commande.

Le blond glousse joyeusement avant de nous dire au-revoir.

L'air était devenu comme quand Sherlock et mon frère étaient dans la même pièce.

— vous êtes vraiment un Omega ?

— oui, les omega font ce qu'ils veulent tu sais. Repose toi tes frères ne vont pas tarder.

Mes paupières se mettent à bouger lentement et je m'endors.

Je suis réveillé par des voix.

Je m'étire et sens quelque de choses de doux contre ma joue.

— Sébastien !

— je le disais bien qu'un bisou te reveilerais.

— pitié Louis dit lui de rentrer dans sa chambre, grand frère William soupire.

Sébastien s'accroche à mes hanches en lui tirant la langue.

Je saisis sa nuque et l'embrasse.

Sébastien devient rouge alors que les autres rigole.

Des médecins viennent le chercher, il accepte de retourner dans sa chambre si je viens avec lui.

Je me sens mieux alors j'accepte de les suivre.

Je suis le seul à entrer dans sa chambre, normalement il doit se reposer, mais il était tellement inquiet pour moi qu'il s'est levé et à parcouru l'hôpital à ma recherche dès que les effets de l'anesthésie ont cessé.

— tu sais que je t'aime hein.

— oui... Je t'aime aussi...

— ta prévoyance nous a sauvé, heureusement que tu as insisté pour qu'on est tout deux cette application.

il caresse ma joue puis mes lèvres avec son pouces.

— Je ne l'aurai pas supporter si quelque chose t'étais arrivé, tu es tout pour moi Louis.

Je ne sais pas comment réagir c'est la première fois qu'il me parle comme ça.

— je suis tombé amoureux de toi dès que je t'ai vu, j'avais honte, je me disais que c'était malsain vu que tu étais plus jeune que moi.

— je ne suis plus un enfant...

— le coup que tu as donné à Milverton me l'a prouvé.

On rigole, il me fait allonger contre lui et s'endort contre ma poitrine.

Il est trop mignon.

— je t'aime aussi Sébastien.

Ça a toujours été toi et personne d'autre.

A plush ❣️❣️❣️❣️