chapitre 11

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                                            Pvd de Hadi

    -MOI:Bonne journée, lui dis je en le foudroyant du regard.
 
   -elle:me...merci ,à vous de même, me dit-Elle en courant comme si elle avait le diable à ses trousses.

    J'entre dans l'école en me fesant la promesse de la revoir très bientôt et de gagner sa confiance.

                               (...)

                                               PVD de Rama

Mon dieu!il m'avais vu
et il se dirige vers moi,Je voulais disparaître à cause de sa beauté et son charme virile.
 
Il est devant moi ,assez proche que que son parfum viril me chatouille les narines ,j'ai failli me tordre le coup à force de le regardé, il est très grand .

    -lui: Bonjour mademoiselle Dia.

   -moi: Bon...jour ,begaillai je en baissant le regard l'air embrassé.

   -lui:Comment vous vous portez? Me demande t'il .

   -moi:Je me porte bien ,merci .

   J'étais frustré à cause de son regard qui laisse personne indifférent.
  Je crois qu'il la remarqué puisqu'il me souhaite une bonne journée et s'en va.

C'est lieu ainsi ,Je constate que j'avais bloqué ma respiration, je souffle un bon coup et décide de prendre un taxi pour rentrer .

Arrivée à la maison je prend un bain,prie et décide de manger quelque chose.

   Le lendemain, je me réveille à 6h ,me prépare .
   Il est 7h quand je descendai dans la salle à manger pour prendre le petit déjeuner.

    Le taxi stoppa. la course réglée ,je sortis ,claquai la portière, traversai la chaussée et franchis le portail du lycée à grandes enjambées.
Comme l'accoutumée, M. Ndiaye ,le proviseur  faisant les cent pas à proximité des salles de classes qui s'ouvraient sur la vaste cour de récréation, divisée en deux parties disproportionnées par une longue allée  reliant le portail au seuil de la direction.

   Il me rendu le salut que je lui adressai .
  
  M.Ndiaye était le proviseur du lycée.
C'étais un homme qui approché le cap de la cinquantaine.
  Il mesurait avec lucidité la délicatesse les responsabilités qui pesait sur ses épaules de pére de familles. Aussi,pour maitriser son monde .
Il n'aimait pas voir un professeur  arrivé en retard, mêmed'une minute.
   

  Tout bien considéré, M.NDIAYE était un homme de bonne volonté. Il donnait le bon exemple par sa ponctualité, son développement, sa simplicité et son efficacité.

   Ne disait-il pas:
-Avant de conseiller aux autres de se laver,il faut être propre soi-même .
 
M.NDIAYE pourtant ne semblait guére vivre au dessus de ses moyens. Il n'avait pas de voiture et s'habiller sans appart .
  Que M.NDIAYE, qui n'était qu'un proviseur du lycée frustrait et rendait certainement jaloux certaines personnes qui devrai travailler sous sa tutelle, mais s'estimaient plus émérites.

  -Bonjour ,madame! S'écriérent d'un commun accord les élèves dés que j'entre sur le terrain d'Eps .
  
   -moi:Bonjour.

Je m'installe sur une chaise .

   -moi:Responsable, cahier de texte s'il te plaît.

   Je commence le rappel .
  
  Les élèves étaient assises par ranger de 4,2 ranger des filles et 2ranger des  garçons
Cette promiscuité favorisait la distraction avivait  la propension au bavardage.
Ne vous fiez jamais à l'homogénéité qui semblent caractériser une classe .
  
Tous ces visage tendus vdes moi,tous ces regard rivés au mien ne traduisaient pas tout à fait la même attente , ils exprimaient des personnalités dissemblables qui se manifestent chacun à sa manière.

Après le rappel je commencai le cours .
J'ordonne aux élèves de se lever

  -moi:Aujourd'hui c'est endurance, mais avant cela vous faitent étirement.

  Ils acquissent ,c'est ce qui me plais chez les élèves de la 1L2,ils sont disciplinés.

   Il est 13h, quand je décide de rentré à la maison pour me reposer la journée à été longue


                  

MAITRESSE D'UN HOMME MARIÉ Où les histoires vivent. Découvrez maintenant