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J'crois je rêve ? D'où il le connaît ? Il me regarde et rigole. J'le regarde avec des gros yeux.

... : on m'a beaucoup parler de toi tu sais...

Moi : ah...ah oui ?

... : oui on m'a dit qu'est tu était très importante pour Rédouane

Moi : mais...mais...vous êtes qui ?

... : qui je suis ? Ahahaha je pensais pourtant que tu serai en me voyant

Moi : eh... bah nan

... : j'suis le père à Rédouane

Moi : q...quoi ?! Mais... ?

Le père à Rédouane : eh oui je sais. J'pense qu'il t'a parler de moi ?

Moi : euh vraiment pas non

Le père à Rédouane : ah ? Je pensais. Enfin bref appelle moi Hichem

Moi : ok. Et vous voulez quoi ?

Hichem : ce que je veux ? Pourtant c'est simple ? Je veux que tu tues Rédouane

Moi : BAHAHAHAHA !

Hichem : je suis sah

Moi : et pourquoi ?

Hichem : il me doit de l'argent ce pd et même il est trop curieux

Moi : c'est pas un pd

Hichem : tu l'aime hein

Moi : non

Hichem : pourtant j'ai des échos que ta pleurer pour lui

D'un coup il était moins gentil et sembler agacé.

Moi : ça doit être sa

Hichem : Bon. Chuis pas venu ici pour jouer aux cartes ok ? Donc tu va te calmer

Moi : ok

Hichem : j'vais te donner une mission. J'vais te relâcher. Mais t'aura 2 mois. 2. Pour que Rédouane soit fou de toi. Le jour du dernier mois je vais faire d'une descente. Et la boum ! Bye bye Rédouane. J'ai besoin aussi que tu récupère quelques trucs pour moi

Moi : je refuse

Hichem : tu refuses ?

Moi : vous êtes intelligent c'est bien

Hichem : tu veux vraiment jouer à ça avec moi ?

Moi :j' préfère pas vous êtes gênant

Il souffle et appelle quelqu'un. Trois hommes arrivent dans la pièce. Ils étaient tous cagoulés. Yen a deux qui m'attrape et un qui pose un pistolet sur ma tempe. AWILI ! Là je disait plus rien.

Hichem : alors on refuse encore ?

Je pouvait pas faire ça à Rédouane. Mais je voulais pas mourir. J'étais prise au piège.

Moi : oui...

Hichem :PARFAIT ! J'te laisse deux mois

Moi : ok...

Hichem : mais bon ça serai trop simple comme ça.

Il ce lève et viens devant moi. Il sort un couteau de ça poche et le pose sur ma tempe. Il rigole et le fait glissais jusqu'à ma joue. Je sens mon visage s'ouvrir en deux et du sang coulée.

Moi : aïe...

Hichem : comme ça quand tu verra cette cicatrice tu te rappellera ce que je suis capable de faire.

Chronique de Neyla : On a souffert pour s'aimer...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant