chapitre 11

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Pov Ibrahim.

Maman : à qui appartient ses valises ?.

Je prends mes clés..

Papa : hé jeune homme, tu rentres avec Oumou et les enfants ok ?.

Je souris heureux, enfin je vais être seule avec elle.

Même si il aura les gosses.

_ venez, je prends Fifi.

Elle voulait prendre aussi Papi mes je l'empêche.

_ il est lourd, tiens lui seulement la main pour qu'il ne tombe pas de sommeil.

Elle acquise et on rentre.







Pendant le trajet..

Il y avait un silence de mort.., je met la musique.

Fatiguée de se silence je fini par le rompre.

_ ça va à l'université ?.

Oumou :...

_ je vois, tu joues à la silencieuse aujourd'hui !.

Oumou

Salif : mais je vais te dire un truc,... arrête de m'énerver,... compris ?, dis-je en serrant le volant.

Oumou : je ne t'ai rien fait ok ?, laisse moi tranquille, chouchote-t-elle pour ne pas réveiller les gosses qui dormait.

Salif : tu ne m'a rien fait hein ?, je t'ai dit mainte fois de ne pas laisser les garçons t'approcher ... Mais t'a fait tout le contraire merde, dis-je enragé.

_ répond bordel ?,

Oumou : qu'es ce que je t'ai fait Salif, dit-elle au bord de larmes.

En plus elle pose la question,putain ??.

_ tu poses la question hein ?, J'arrête la voiture.

Je me retourne pour la regardé dans les yeux.

_ tu es tout le temps dans ma tête, j'arrive pas dormir,.. même au bureau.. Oumou.. Oumou j'arrive plus à réfléchir bordel, je peux même plus touché ma putain de femme... c'est tout le temps.. toi merde,.

Oumou : t'es complètement malade !, dit-elle apeuré.

Wai c'est sûrement cela..

_ wai, complètement malade de toi.. je dirais même obsédé, alors dis à ton con de petit chrétiens de dégagé sinon...

Oumou : laisse le tranquille Salif, dit-elle larmoyante.

Je tuerai ce putain de chrétien ils vont voir.

On ne touche pas à ce qui m'appartient... et Oumou est à moi.












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