TE SORTIR DE TON ENFER

Le sauvetage.

Hey salut ! Me voici pour une nouvelle fanfic.
Je me suis lancée le défi de faire cette fanfic un peu dur. Désolé ça parle de violences, de torture, d'abus...
Mais il y a aussi de la romance et yaoi.

Merci à Amarylice qui m'a inspirée avec sa fic "l'équilibre de la troisième roue". Une œuvre très bien écrite que j'ai adorée. Je suis fan.

J'espère qu'elle sera bien. Bonne lecture 😉

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Chapitre 1 : Le sauvetage.

De grands bruits de courses, de cris et de combats se faisaient entendre dans le grand bâtiment. Un homme se dépêchait, cherchant quelque chose que lui seul et son ami loin derrière lui, avaient connaissance. Ces deux héros étaient en mission sauvetage avec d'autres qui combattaient un peu partout. Une information avait fuité. Une organisation enlevait quelques personnes sélectionnées par eux pour les obliger à faire des choses comme des expériences ou pour d'autres choses. Un peu plus tôt ils avaient fait sortir un scientifique qui était obligé de travailler pour l'organisation, faisant des expériences pour réduire ou effacer des alters.

L'homme en avance sur son ami et collègue serra les dents. Ils avaient pu faire sortir au moins cinq personnes emprisonnées. Mais d'après les informations de certains, il restait deux personnes. Une femme qui se trouvait plus en arrière qu'il avait confié et son amie à l'alter grenouille et un jeune homme qui se trouvait à cet étage, normalement. Mais il n'avait aucune idée d'où il se trouvait. Il n'avait aucun indice et n'arrivait pas à savoir si cette personne appelait à l'aide. Trop de bruits autour de lui. Il grogna et décida de crier, demandant s'il y avait quelqu'un. Il commençait à désespérer de trouver cette dernière personne. Mais alors qu'il grinçait des dents de frustration il entendit un bruit. Un petit quelque chose. C'était faible mais il entendait bien une voix. La voix d'un garçon, un peu étouffée et faible.

Il s'arrêta et tendit l'oreille en espérant l'entendre encore une fois. Et cela se passa. Il tourna la tête vers son ami qui était un peu plus loin, regardant vers des portes qu'il avait ouvertes. Leur regard se croisent et celui devant lui fit signe vers une pièce à quelques pas en avant à sa gauche. Il se tourna vers celle-ci et avança. Il regarda la porte en métal fermée par un cadenas qu'il cassa à l'aide de son alter. Il prit la poignée de sa main tremblante. Il y était presque. Il allait sauver la dernière personne et accomplir sa mission pendant que les autres héros combattaient encore. Il se rendait compte que les bruits se calmaient. Il calma sa respiration, souffla un bon coup et ouvrit la porte qui grinça lourdement et bruyamment sur le sol. Il entra dans la pièce sombre. Il ne voyait pas vraiment. Où était ce jeune homme dans cette obscurité ? Il ne chercha pas bien longtemps, entendant un sanglot faible mais bien présent.

"_ Non... Ne... Ne me faites pas mal...

_ Calme toi, je ne te veux pas de mal.

_ Je serais gentil... Je... Non..."

Le cœur du jeune héros se fissura. Cette personne était effrayée par lui. Ça faisait mal. Il était attaché par des chaines reliées au mur. Allongé sur le sol, sale, maigre et blessé. Des larmes dévalaient les joues du prisonnier. Il se serrait contre le mur, ayant peur de la personne qui venait de rentrer. Il craignait ceux qui rentrait dans cette pièce car il savait qu'il allait souffrir. Ils allaient encore lui faire du mal. Lui mettre des aiguilles, lui enfoncer certaines choses répugnantes dans son corps, le bruler, le torturer, lui faire avaler des substances... Ces choses horribles qu'ils lui faisaient, il n'en pouvait plus. Il ne savait plus depuis combien de temps il subissait tout ça.

Le héros était face à lui mais ne le voyait pas comme tel. Il voyait toujours l'un de ses tortionnaires. Il le voyait s'approcher de plus en plus et se mit à trembler, se serrant un peu plus contre le mur dans l'espoir de pouvoir s'accrocher contre cette surface dure qu'il connaissait bien maintenant. Le nouveau venu s'arrêta devant lui et se baissant doucement. Il le regarda et avança la main avec douceur mais voyant que l'autre tremblait un peu plus il se figea. Il ne voulait pas lui faire mal.