Chapitre XII

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Jusqu'à ce que Cyrus recule légèrement de son visage, elle le regarda avec incompréhension et désir, plongée dans un court silence qui parut comme une éternité. Les battements de leur cœur semblaient résonner dans l'atmosphère chargée, comme s'ils essayaient de communiquer sans mots. Les regards se croisèrent, chacun cherchant à percer les mystères de l'autre. Finalement, Cyrus prit doucement sa main, brisant le silence.

"Écoute Aria j'ai très envie de toi mais on va dire que j'ai certaine préférence au lit. C'est pour cela que avant de faire ou commencer même juste pour un baiser, j'ai besoin de ton consentement. Car je ne veux rien faire si tu es pas d'accord".

Aria le regarda avec un grand sourire montrant sa fierté vers l'homme quel avait choisi pour partager un moment aussi intime. elle lui répondit "Cyrus, tu auras toujours mon consentement, mais si quelque chose me dérange, je n'hésiterai pas à te le faire savoir."

Cyrus sourit tendrement en retour, reconnaissant la sincérité d'Aria. Il prit doucement son visage entre ses mains et dit, "Aria, ce qui fait de notre relation quelque chose de spécial. c'est toi, et je t'assure que je serai là pour toi, peu importe ce qui se passera". 

Aria hocha la tête, rassurée mais elle ne pu se retenir plus longtemps que ça "Et puis merde". Elle l'attrapa et l'embrassa au début cela fut d' un doux baiser entre eux mais très vite en une fraction de seconde l'ambiance change très vite, pour laisser passe à des choses plus intime. 

Leurs corps se rapprochèrent davantage, mettant à nu leurs désirs brûlants. Leurs lèvres s'unissaient et leurs corps se rapprochaient inexorablement. Aria sentit son corps s'enflammer sous les caresses expertes de Cyrus, chaque effleurement faisant naître en elle un tourbillon de sensations enivrantes.

Les mains de Cyrus parcouraient le dos d'Aria dans une caresse enivrante, lui procurant des frissons délicieux. Leurs mains s'explorèrent, dévoilant les courbes et les contours de l'autre, avides de découvrir chaque parcelle de peau. Ils se laissèrent emporter par le désir ardent qui les consumait. Les vêtements d'Aria s'envolèrent un à un, laissant place à une femme désiré que ça  nudité laisser paraître.

Leurs souffles se mêlaient dans une danse torride, leurs peaux se frottaient avec une frénésie irrépressible. La chambre devint le théâtre de leur amour dévorant. Dans un souffle, Cyrus chuchota à l'oreille d'Aria des mots doux et sensuels, alimentant leur désir mutuel.

"Aria" soupire, "touche moi", soupire "Aria tu es une vrai diablesse", soupire.

Ils se perdirent dans un océan de plaisirs interdits, abandonnant toute notion de temps et de réalité. Les murmures passionnés et les petits gémissements s'échappaient de leurs lèvres, témoignant de l'intensité de leurs ébats. Leurs corps ne formaient plus qu'un, fusionnant dans une passion dévorante.

Ils s'abandonnaient l'un à l'autre, découvrant avec délice les plaisirs insoupçonnés que leurs corps pouvaient offrir. Chaque mouvement, chaque caresse, amplifiait leur désir mutuel. Les soupirs se faisaient de plus en plus audibles, les étreintes de plus en plus enivrantes. Ils donnaient tout d'eux-mêmes, sans retenue, se perdant dans une extase indicible.

Leur union était à la fois douce et sauvage, passionnée et tendre. Ils se donnaient l'un à l'autre sans limites, sans inhibitions.

Cyrus se leva laissa Aria seule nu dans le grand lit, Allaitante et transpirante. Il alla en direction de sa bibliothèque tira un livre et laissa apparaitre une étagère remplit de jouet. Il attrapa une pair de menotte en fer. comme celle que l'on peut retrouver quand on l'emprisonne quelqu'un, puis il s'approcha d'elle, et positionna ces mains des deux cotés du visage Aria et lui demanda.

La Prophétie d'AriaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant