chapitre 17

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Aïda Sangaré

Ça fait deux heures, que j'ai fait signer le contrat au sénégalais.

J'attends fatou depuis.

Sonnerie....

Ah c'est elle qui appel

__j-

: Désolée Aïda, j'ai un imprévu..o-on peut se voir un autre jour ?.

Encore...

__ oui comme ça t'arrange,

:J..je sais que c'est soudain mais c'est u-

__ non t'inquiètes, je te comprends...sans rancune..

: Merci à toutes.

Elle raccroche...

Je fixe dans le vide..

Rit nerveusement je vais le tué.... putain.

Perdu dans mes pensées, je me fais surprendre par quelqu'un qui m'enlace et qui à sa tête sur mon épaule..

Je me retourne brusquement...non non...

: Je t'ai manqué mon amour ?., dit-il souriant.






















Ibrahim Boubacar Sangaré :

{13h26}

Je rassemble les affaires nécessaire, et prend les clés de ma voiture..

Arrivé dans le salon, je trouve ma mère qui fait les cent pas, stressée.

Ma mère : a filai niyé,tu vas pas le laisser faire n'es pas Sangaré ?, dit-elle en me pointant du doigt..

Je me rapproche de papa qui était assis sur le fauteuil central.

__ papa.. c'est le moment,

Il se lève et on fait un accolade...

Papa : j'aurais aimé que tu restes mais... je suis fière de toi fiston,... ne laisse jamais ce qui te rende heureux de filé entre les doigts c'est l'erreur de notre vie, me conseil t-il.

Je le serre tellement fort dans mes bras,.

__ merci de me comprendre papa....ton absence va faire un trou...

Papa : appel moi en cas de besoin.. toujours.

__ je vais le faire t'inquiète...

Papa : par contre je me demande qui va tempéré ta moitié maintenant,.... tu sais la folle, dit-il sérieusement.

Je rit à gorge déployée,.. sacré Aïda.... qu'es ce qu'on va faire de toi ?..

__ envoyé l'a moi, dis-je amusé.

Papa : oui c'est une solution..

Je me tourne vers ma mère qui pleure déjà pitié.. j'aime pas ces larme..

__maman...

Elle essuie rageusement ses larmes,

Maman : tais-toi, enfants ingrats...., tu ose abandonné ta mère ?,

Elle se laisse tomber Au sol,songlotant
Je m'assis à côté d'elle et me ma tête sur ses genoux.

__ comprend moi, dis-je d'une voix baisse.

Maman : comment tu veux que je laisse partir mon enfant, dit-elle en pleurant.

On est resté comme ça pendant un instant.

Leurs Obsessions Où les histoires vivent. Découvrez maintenant