𝕮𝖍𝖆𝖕𝖎𝖙𝖗𝖊 8 - 𝕵𝖊 𝖙'𝖆𝖎𝖒𝖊 𝖆 𝐯𝖔𝖎𝖝 𝖍𝖆𝖚𝖙𝖊

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     J'avais passé toute la soirée, la nuit, la journée suivante dans mon lit, déboussolé. Les seules fois où je m'étais levé c'était pour nourrir Patapouf et lui ouvrir la fenêtre. Au soir très tard je m'étais levé pour allait à la douche, j'y étais restai une bonne demie heure à me morfondre. Autant que les Volturi me tue tout de suite.
    J'entendis quelqu’un frapper à la porte.

     Je me sèche le visage avec ma serviette, puis je la mis autour de ma taille et j'en pris une autre pour la mettre autour de mes épaules.

-C'est pour quoi ? Demandai-je sans prendre la peine d'ouvrir la porte.

     J'espérais que ça ne soit pas des témoins religieux.
     Auquel cas je ferais le mort.

-Ouvre moi Isaac, s'il te plaît ! Retentit la voix de Jung derrière la porte.

     Je déglutis, sentant un frisson passer dans mon dos.

-Pour me mentir, rétorquai-je. Rentre chez toi Jung ou part loin pour fuir les Volturi si tu le souhaite, moi je suis fatigué de tout cela !

-J'ai étais lâche Isaac, je ne voulais pas te mentir, avoue Jung. Avec l'avenu des Volturi et leurs soudain revirement j'ai compris se que Blanche préparait... Isaac j'ai besoin de toi dans ma vie !

     Je ne répondis rien, j'avais envie de pleurer et rien d'autre. Alors je laisse mon mal être reprendre le dessus sur mes émotions et pleure.

-Je suis désolé de t'avoir fait du mal, ça me ronge. Pardonne moi. Isaac, pardonne moi ! Murmure t-il ces dernières paroles.

     Je m'étais assis sur le canapé et me laisse aller au chagrin.

-Je me suis battu avec Mark et Joe, je suis le seul à mettre fait virer de l'école, on va me renvoyer à l'internat, Patapouf sera comme moi, sans famille. Ma vie est chaotique...

     J'entends le verrou de ma porte s'actionner puis le visage de Jung apparut.

-Depuis quand tu as un double ? M'étonnai-je entre deux sanglots.

-C'est eux qui ton fait sa ? Dit-il en inspectant mon visage derechef.

-Non bien-sûr que non, j'ai essayé de marcher et mâcher du chewing-gum en même temp, répondis-je sarcastique avec quelques reniflements par ci par là.

-Non bien-sûr que non, j'ai essayé de marcher et mâcher du chewing-gum en même temp, répondis-je sarcastique avec quelques reniflements par ci par là

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    Je m'en suis voulu aussitôt. Jung avait quelques mouvements dans ma direction mais il n'osait pas avancer. Je fixé mes mains réuni sur mes cuisses, je me sentais épuisé, vidé de toute énergie. C'est peut-être dû au fait que je n'avais rien avalé depuis plusieurs jours ou toutes s'est choses qui m'arrive.
     Les deux sûrement.

-Est-ce que je peux te prendre dans mes bras ?

     Est-ce que je peux pardonner le mensonge, probablement. Mais je n'oublie pas. Est-ce le bon moment pour lui pardonner, non. Vais-je tout de même céder, évidement.

𝕾𝖆𝖓𝖌●𝖘𝖆𝖙𝖎𝖔𝖓 ᵀᵒᵐᵉ ᴵᴵOù les histoires vivent. Découvrez maintenant