Léo et Vénus 5

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Le premier sentiment de gêne passé, bizarrement je me sentais à ma place.... la trouille que j'avais eue s'estompait...l'assurance la remplaçait ... la nudité de Vénus ne me dérangeait plus...elle m'attirait... non pas de cette attirance adolescente qui m'aurait fait bander, non c'était autre chose sur lequel je n'avais pas de mots pour exprimer mon ressenti...quelque chose qui prenait naissance en moi.... ce pourrait il qu'un jour moi aussi j'ai une soumise qui m'offrirait son obéissance, sa vie, son corps...son âme....une soumise à qui j'apprendrai la perfection.

Léo continuait de caresser Vénus qui arrivait à ce point où elle allait laisser éclater sa jouissance...sa respiration s'était accélérée et elle gémissait doucement.

 "As  tu déjà vu une femme jouir, Dominic, une vraie femme dans toute sa beauté".

"Non jamais"

"Alors regarde bien, je vais faire jouir Vénus pour toi, ce sera ton premier cadeau d'anniversaire, sois en honoré car peu d'hommes l'ont vu s'ouvrir pour s'offrir, mais elle ne jouira que sur mon ordre, compris".

"Oui Maître".

La voix de la jeune femme n'était qu'un souffle, un  voile. Elle se concentrait pour ne pas avoir à désobéir et jouir, son corps était tendu mais Léo continuait son cours d'anatomie imperturbable.

Je m'installais donc, bien décidé à ne pas en perdre une miette, ce n'était pas une question de voyeurisme mais de gestes, de savoir faire,  mais j' allais avoir dix sept ans et à cet âge là, comment dire la bête est vaillante et affamée...adossé à ce qui ressemblait à une grande table de massage, je croisais les bras et attendis, époustouflé par la beauté de la vedette du spectacle...ses chevilles maintenues au sol par les sangles lui interdisaient tous mouvements. Ses cuisses tremblaient, sa poitrine se soulevait.

"Tu vois son excitation est à son maximum.... à quoi je vois cela.... à ses seins gonflés, ses tétons dressés, son corps crispé qu'elle tente de retenir et le summum dans tout cela à sa chatte qui goutte, coule sans retenue, regarde comme elle est trempée".

Joignant le geste à la parole Léo parcouru le corps de sa soumise du plat de la main pour finir entre ses jambes où il empauma son sexe. Les fluides de Vénus s'échappaient entre ses doigts et la belle soumise gémissait doucement.

"En premier lieu tu passes ta main sur sa vulve, tu la caresses doucement, ensuite tu ouvres sa fente et tu glisses un doigt entre ses lèvres qui vont gonflées, ta chienne commence à avoir chaud, tu parcours ses chairs, puis tu attrapes le tout petit pénis qui se cache un peu plus haut, tu vois, ce minuscule bout de sexe qui fait toute la différence  et tu en fais ce que tu veux, tu le pinces, le malaxes, tu le fais rouler entre tes doigts et là la magie opère, il va grandir juste ce qu'il faut pour te signaler qu'elle est prête, elle va s'humidifier, se liquéfier sous tes yeux, signe qu'elle est excitée, ce qui fait qu'elle va secréter un fluide blanc laiteux que l'on appelle cyprine, tu le recueilles et tu lui fais avaler, ainsi avalant ses propres sécrétions, ta chienne te reconnaitra comme son Maître".

Les paroles de Léo rendirent l'atmosphère de la cave encore plus lourde qu'elle ne l'était. L'odeur d'excitation de Vénus en imprégna chaque recoin et ses gestes eurent  pour effet de la faire aller au devant de cette main  qui la torturait sans ménagement,  elle ne fut pas la seule dans ce cas, car je  sentis qu'au niveau de mon entrejambe ça s'agitait sérieusement. La bête se sentait légèrement à l'étroit dans sa prison...c'était la première fois que je  ressentais un tel désir à ce niveau là, totalement différent de mes petits flirts d'ado.

"Oh, oh mon garçon, je vois que cela te fait de l'effet, Vénus s'occupera de toi après, deuxième cadeau d'anniversaire.

Certains auraient trouvé l'attitude de mon oncle un peu déplacée.... auraient peut être été gênés par sa familiarité à offrir sa compagne mais je n'étais plus dans un contexte normal, j'avais basculé de l'autre côté d'un seul coup et j'acceptais ce que je voyais...mon oncle allait m'offrir un moment que je n'étais pas prêt d'oublier.



Le ScarifieurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant