La souffrance de nos cœurs

48

Wa Salam Aleykum

bonne lecture!

Je croyais mal entendre.

Zakarya : il a su éteindre le feu et je lui ai tirer dessus, t'a du mal a comprendre ?

- mmh..

Zakarya me regarde mal et commence a conduire, conduire super vite.

Je me suis endormit sa faisait tellemnt longtemps que je n'avais pas dormie

: oh! reveille toi j'ai pas le temps.

j'allais ouvrire mes yeux quand j'entends un mot qui m'a quand meme fait mal.

: sale pute, reste la creve meme.

C'était Zakarya qui avait dit sa il était serieux ? Je me suis lever et je me suis vite eloigner de lui.

- t'a pas honte ?

il m'attrape violemment par le bras et me fait rentrer dans l'appart que j'ai pris quand on s'etait disputer.

Au passage j'avais vue un matelas remplis de sang tout était parterre, j'avais l'impression d'etre face a une scène d'horreur

Zakarya : on retourne en France.

- prochaine fois évite de serrer mon bras a par si tu le veux dans ta gueule.

Zakarya : Parle bien Layla, je te jure parle bien avant que je te défonce

- je parle bien avec les gens bien, defonce autant que tu veux je vais continuer a parler mal car a ce que je sache toi meme tu me parle mal, du moment ou tu me respecte pas en me traitant de pute je ne vais pas te respecter simplement

Je vois qu'il était en colère mais j'y est pas preter attention, parfois, l'amour et la haine, les deux, se mélangent

Je me contente de le deviseager et je fais ma valise, en esperant que sa devienne un devienne un bon et nouveaux depart meme si le passer et les douleurs finissent toujours par nous rattraper..

FRANCE, PARIS

Un trajet fais dans le silence laissant entendre mon coeur completement briser, pendant ce long trajet j'ai fais que de penser au viol, insulte, les coups, je me demandais, qu'est ce que je fais ici ? Zakarya l'avait remarquer mais il ne disait rien, je n'avais pas envie d,en parler.

On avait pris l'avion avec 11heure de vol ce qui avait l'air d'une decenie a ma yeux, surement car je pensais a des autre qui m'ont traumatisé

On était placer dans un quartier assez calme de l'idf ( ile de france )

Zakarya : Layla ?

- mmh..

Zakarya : tu penses a quoi ?

- a tout.

Zakarya : On est venue ici et aussi loin pour ta mère

Je croyais avoir mal entendue.

- hein ?

Zakarya : Ta mère est a Paris Layla.

Je refusais d'y croire.. j'allais enfin voir ma mere apres plusieurs années de souffrance ?

- tu mens ! toute les fois que t'a dis sa on l'a jamis vue, c'est encore des faux espoirs c'est sa ? Et si il m'arrive encore quelque chose ? A chaque fois qu'on s'approche du but il arrive un malheur. J'ai pas envie de vivre encore plus de chose que j'en ai vécu maintenant.

Zakarya fronce les sourcils et me regarde bizarrement. Avant sa, il avait reçu un message si je me trompe pas

Zakarya : Il t'a toucher ?