D’un geste doux, il lui ôta sa culotte et posa la main sur son sexe. Il glissa un doigt en elle et elle gémit de plaisir.
Elle aurait voulu que ce moment ne cesse jamais. Et en même temps, son corps cherchait l’assouvissement.
Alkis caressa son clitoris, et elle se mit à onduler et haleter. Puis il pinça ses tétons durcis en une délicieuse torture.
Avec un murmure de plaisir impossible à refouler, Alkis se leva et se dévêtit à la hâte.
À présent, il était nu devant elle, dans sa splendide virilité. Son attitude nonchalante laissait croire à Leora qu’il n’éprouvait aucun malaise à se tenir ainsi nu devant elle.
Alkis contempla la jeune femme. Elle avait l’air si irréelle, si belle et si innocente.
Il se positionna entre ses jambes. Ses mains se refermèrent sur ses hanches et, avec douceur, il glissa enfin en elle.
Malgré ses précautions, Leora hoqueta de douleur. Mais bien vite, son corps s’ajusta à sa présence massive.
Un flot brûlant remonta de son bassin pour infuser la moindre de ses cellules, électriser toutes ses terminaisons nerveuses.
Puis Alkis se retira pour mieux revenir à l’assaut, d’un estoc ferme et possessif. Cette fois, elle était prête pour lui.
Il renversa la tête en arrière, les yeux à demi fermés, chargeant encore et encore pour la posséder plus complètement.
Leurs peaux perlaient de sueur, ils s’étreignaient comme pour ne plus faire qu’un seul être, unis par le même élan.
Un cri de plaisir franchit ses lèvres lorsqu’elle bascula dans l’abîme. A son tour, Alkis frissonna avant de se déverser en elle en saccades brûlantes.
Quand elle fut endormie, Alkis la contempla longuement, avec une gravité empreinte de tendresse.
Plus tard, bien plus tard, elle s’éclipsa pendant qu’il dormait, soulevant précautionneusement son bras avant de quitter le lit.
C’était l’aube, son frère allait s’inquiéter car c’était la première fois qu’elle n’était pas rentrer dormir à la maison.
La douleur n’était pas revenue, mais son amant l’avait traitée toute la nuit comme si elle était faite de porcelaine. La tête appuyée sur le bras du Grec, elle leva vers lui un regard timide.
Récupérant ses vêtements en silence, elle remit sa tenue de travail froissée. Elle s’autorisa un dernier regard pour Alkis qui dormait les points fermés, plus magnifique que jamais dans toute sa nudité.
Elle retourna au salon sur la pointe des pieds puis prit son sac à main et fit sortir son téléphone portable afin de vérifier l’heure. L’heure affichée sur l’écran était 6heures.
Les chaussures en mains, elle ouvra lentement la porte de la suite et sortit du couloir.
Heureusement qu’il était encore tôt, elle ne vit personne dans le couloir. Elle monta à bord de sa voiture et démarra aussitôt en direction de leur maison.
De retour à la maison, elle monta directement dans sa chambre. Elle se rendit dans la salle de bain ou elle fit couler de l’eau chaud pour son bain.
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La vengeance d'un ennemi ( Les larmes d'une innocente )
RomanceJe vous laisse le soin de découvrir cette histoire.