zoro x perona

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- Mon Dieu, tu es tellement stupide. « Sa voix aiguë résonne dans tout le château et, semble-t-il, même dans toute l'île.

Avec Zoro, c'est insupportable. Perona avait déjà regretté trois cent mille fois de ne pas l'avoir laissé mourir dans un marécage de la forêt voisine. Le médecin de Perona, comme Zoro, est un enmerdeur, donc les bandages sur lui se défont encore. La cicatrice de Zoro est très belle et sa poitrine est large, et Perona pendant une seconde cesse de se sentir désolée et est un peu heureuse de ne pas l'avoir laissé mourir.

- C'est toi l'imbécile. - Zoro grogne entre ses dents, croise les bras sur sa large poitrine, tirant dangereusement sur les bandages restants, et se laisse tomber sur le tapis à côté du canapé. - Ton explication est moche.

Perona cesse de se sentir désolé.

"Tu n'avais qu'à me suivre!" - Elle soupire et se retourne en l'air sur le ventre. - Pas seulement stupide, mais aussi grossier. J'aurais pu naviguer dans les quatre directions.

Zoro rit, Perona soupire à nouveau, encore plus fort qu'avant, et s'enfonce doucement sur le même canapé, allongée sur le côté. Il frappe Zoro dans le dos quelque part à gauche, puis quelque part à droite. Alors il ne pique pas.

"Je ne peux même pas faire de toi un serviteur, parce que tu n'es pas mignon du tout quand tu ouvres la bouche." « Elle passe son doigt avec une manucure noire sur la tapisserie du canapé et sur sa chemise tachée de sang et ramasse les fils qui dépassent là où elle les trouve. "tu  aurais peut-être juste besoin de le recoudre!" Qu'en penses-tu?

Zoro semble prêt à répondre à quelque chose de dégoûtant, Perona est sûre que cela arrivera, mais il ne répond pas. Il penche la tête en arrière sur le siège, exactement là où Perona a failli arracher le fil le plus dégoûtant, et bâille. Ferme les yeux. Il respire lentement, lentement, parfois comme s'il ne respirait pas du tout.

Elle est toujours sous le choc de la rapidité avec laquelle il s'endort. Elle est même jalouse. Il semble qu'ici, après sa réponse dégoûtante, elle devrait à nouveau jouer un tour à Zoro et être sûre de le réveiller. Peut-être le chatouiller pour qu'il éclose comme la première fois, et qu'elle rie, et rit, et rie ; ou remettez le fantôme en lui et écoutez-le se repentir de tous ses péchés mortels. Eh bien, voici quelque chose à faire.

Ce serait drôle, mais Zoro est tellement tendu quand il est réveillé, et quand il dort, c'est cent fois pire. Il serre les trois épées jusqu'à en faire des jointures blanches, et ses blessures sont sur le point de recommencer à saigner. Perona le regarde et, pour une raison quelconque, réalise enfin à quel point il est épuisé.

Perona ne veut probablement pas vraiment faire quelque chose de méchant à Zoro. En général, vous ne voulez probablement rien faire.

Elle a presque envie de lui demander quel âge il a - il lui semble qu'il est plus jeune - pour passer doucement son doigt le long de sa joue, là où la légère barbe est à peine visible. Discutez de quelque chose d’intéressant. Emmenez-le pour un compliment, par exemple. Ce serait bien.

Je veux aussi fermer les yeux et respirer lentement, lentement, côte à côte.

Peut-être qu'elle souhaite encore que quelqu'un lui caresse un peu plus la tête. Peut-être qu'il serait possible de tapoter Zoro sur sa stupide tête avec ses stupides cheveux verts et il lui tapoterait la tête en arrière. Ce serait bien aussi. Elle prend à nouveau une profonde inspiration, tire le coussin du canapé sous sa tête et bâille même.

Pour une raison quelconque, Perona réalise seulement maintenant à quel point elle est fatiguée.



Fin.

Zoro x Perona : zoperoOù les histoires vivent. Découvrez maintenant